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 | Premier principe de la thermodynamique et bilan énergétique Exercices | 
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		QCM r 
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1)- Exercice 05 page 312 : Déterminer un volume molaire :
| Déterminer un volume molaire : 1. Exprimer le volume molaire Vm 
			d’un gaz parfait en fonction des données littérales de l’équation 
			d’état. 2. Calculer le volume molaire Vm 
			d’un gaz parfait : a. Dans les conditions normales de température et de pression : Ta = 273 K et Pa 
			= 1,013 × 105 Pa ;  b. Dans les conditions standard de température et de pression : Tb = 298 K et Pb 
			= 1,00 × 105 Pa  
			
			- 
			Données : 
			- 
			Équation d’état du gaz parfait : 
			P . V 
			= n . R . T 
			
			- 
			Constante 
			des gaz parfaits : R = 8,314 Pa . m3 .mol–1 . 
			K–1 | 
| Déterminer un volume molaire : 1. 
			Volume molaire Vm d’un gaz 
			parfait. 
			
			- 
			Équation d’état du gaz parfait : 
			- 
			Cette équation relie les 
			différentes grandeurs macroscopiques qui permettent de le décrire. 
 
			
			- 
			Volume du gaz parfait : 
			-  
			
			- 
			Expression du volume molaire du gaz 
			parfait : 
			
			- 
			C’est le volume d’une mole de gaz :
			n = 1 
			
			- 
			
			 2. 
			Calcul du volume molaire Vm 
			d’un gaz parfait : a. 
			Valeur dans les CNTP :  
			
			- 
			Ta = 273 K et
			Pa = 1,013 × 
			105 Pa ; 
			
			- 
			 b. 
			Valeur dans les CSTP :  
			
			- 
			Tb = 298 K et
			Pb = 1,00 × 105 
			Pa ; 
			- 
			 
			
			- 
			La valeur du volume molaire d’un gaz 
			est très sensible à celles de la température 			T et de la Pression
			P. | ||||||||||||
2)- Exercice 07 page 312 : Exprimer une masse volumique :
| Exprimer une masse volumique : 1. 
Masse volumique ρ, quantité de 
			matière n et masse molaire M. a. Rappeler l’expression de la masse volumique
			ρ d’un corps, puis l’exprimer en faisant apparaître la 
			quantité de matière n et la masse molaire M. b. Donner l’expression de la quantité de 
			matière n d’un gaz parfait en fonction des données littérale 
			de l’équation d’état. 2. Exprimer la masse volumique ρ d’un 
			gaz parfait en fonction de sa masse molaire M et des grandeurs de la 
			question 1. b. 3. L’expression de la question 
			1. b
			est-elle toujours valide si la pression devient très grande ? 
			
			- 
			Données : 
			- 
			Équation d’état du gaz parfait : 
			P . V 
			= n . R . T | 
| Exprimer une masse volumique : 1. 
			Masse volumique ρ, quantité de 
			matière n et masse molaire M. a. 
			Expression de la masse volumique ρ 
			d’un corps. 
 
			
			- 
			Quantité de matière :
			n  
			
			- 
			Masse molaire :
			M 
			
			- 
			Masse :
			m = n .
			M 
			
			- 
			Masse volumique d’une 
			substance gazeuse : 
			
			-  b. 
			Expression de la quantité de matière n 
			d’un gaz parfait en fonction des données littérale de l’équation 
			d’état. 
			
			- 
			Équation d’état du gaz parfait : 
			- 
			Cette équation relie les 
			différentes grandeurs macroscopiques qui permettent de le décrire. 
 
			
			- 
			Quantité de matière d’un gaz 
			parfait : 
			
			- 
			 2. 
			Expression la masse volumique ρ d’un 
			gaz parfait en fonction de sa masse molaire M et des 
			grandeurs de la question 1. b. 
			
			- 
			 3. 
			Validité de l’expression de la question 
			1. b : 
			
			- 
			Dans le cas présent, on utilise le 
			modèle du gaz parfait. 
 
			
			- 
			Si la pression devient très grande : - Le modèle du gaz parfait n’est plus respecté (les entités du gaz sont de plus en plus proches, 
			la masse volumique augmente, il apparaît des 
			interactions entre les entités, il y a des chocs entre les entités). 
			
			- 
			La relation précédente n’est plus 
			valide. | ||||||||||||||||||||||||||||||
3)- Exercice 08 page 312 : Calculer une masse volumique :
| Calculer une masse volumique : - La masse volumique de l’air assimilé à un gaz parfait dans les conditions normales de température et de pression est : 1,293 g . L–1.(CNTP : T1 = 273 K et P1 = 1,013 × 105 Pa) - Calculer la masse volumique de l’air dans les conditions standard de température et de pression (CSTP :
			T2 = 298 K et
			P2 = 1,000 × 
			105 Pa). 
			
			- 
			Données : 
			- 
			Équation d’état du gaz parfait : 
			P . V 
			= n . R . T 
			- 
			Constante des gaz parfaits : R 
			= 8,314 Pa . m3 .mol–1 . K–1 - "Masse molaire de l'air" : M = 28,965 g . mol–1 C'est la masse de 22,4 L d'air dans les conditions normales de température et de pression. | 
	
	 Calculer une masse volumique : 
			
			- 
			Masse volumique de l’air dans les 
			conditions standard 
			de température et de pression  
			(CSTP :
			T2 = 298 K et P2 
			= 1,000 × 105 Pa). 
			
			- 
			À cette température et à cette 
			pression, on peut encore assimiler l’air à un gaz parfait : 
						ρ 
						Masse volumique d’une substance (kg . m–3 ) 
						m 
						Masse de la substance en kilogramme (kg) 
						V 
						Volume de la substance en mètre cube (m3) 
			► 
			
			 Première 
			méthode :   
			- 
			Dans les CNTP :
			ρair = 1,293 g . L–1 
			
			- 
			L’air est un mélange de gaz, 
			principalement du diazote et du dioxygène. 
			
			- 
			D’équation d’état du gaz parfait, on 
			déterminer la relation donnant la « quantité de matière »
			n d’air dans les CNTP : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Dans les conditions standard, on peut 
			écrire : 
			
			- 
			 
			
			- 
			On peut en déduire la relation suivante après 
			simpification : 
			
			- 
			 
			
			- 
			De cette expression, on tire la 
			relation qui donne le volume 
			V2 de la même masse
			m d’air dans les 
			conditions standard : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Dans les
			CNTP : m 
						Masse 
						d’air   
						m 
						= 1,293 g 
						V1 
						
						Volume d’air 
						V1 
						= 1,293 L 
						T1 
						
						Température de l’air 
						T1
						
						= 273 
						K 
						P1 
						
						Pression de l’air  
						P1 
						= 
						1,013 
						× 105 Pa 
						ρ1 
						ρ1 
						= 
						1,293 
						g . L–1 
			
			- 
			Dans les
			CSTP : m 
						Masse 
						d’air   
						m 
						= 1,293 g 
						V2 
						
						Volume d’air 
						T2 
						
						Température de l’air 
						T2
						
						= 298 
						K 
						P2 
						
						Pression de l’air  
						P2 
						= 
						1,000 
						× 105 Pa 
						ρ2 
						
						ρ2 
						= ?
						
						g . L–1 
			
			- 
			On peut calculer la valeur de
			V2 : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Puis, on calcule la valeur de la 
			masse volumique 
						ρ2 
			de l’air dans ces conditions : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Application numérique :  
			
			- 
			 
			
			- 
			Tableau de valeurs : m 
						Masse 
						d’air   
						m 
						= 1,293 g 
						V2 
						
						Volume d’air 
						V2 
						≈ 1,12 
						L 
						T2 
						
						Température de l’air 
						T2
						
						= 298 
						K 
						P2 
						
						Pression de l’air  
						P2 
						= 
						1,000 
						× 105 Pa 
						ρ2 
						ρ2 
						≈ 1,17 g . 
						L–1 
			
			► 
			
			
			 Deuxième 
			méthode :   
			
			- 
			On considère que l’air est un gaz 
			parfait : 
			
			- 
			La masse molaire de l’air : 
			M =
			28,965 g . mol–1 
			
			- 
			La masse volumique ρ d’un gaz 
			parfait en fonction  
			   de sa masse molaire M : 
			
			-  
			
			- 
			Application numérique : 
			
			-  
			
			► 
			
			
			 Troisième 
			méthode :   
			
			- 
			On peut trouver une relation donnant 
			la masse volumique de l’air en fonction de
			T,
			P et 
			ρ1 : 
			
			- 
			Dans les CNTP :  
			
			- 
			Dans les CSTP   
			
			- 
			 
			
			- 
			Application numérique : 
			
			- 
			
		
			 
	
			 
		
					
			
						 
					
						 
					 
 
						 
					
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
					
						 
				
						 
						
						 
					 
 
 
  
 
					
			
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
				
						 
						
						 
						
						 
					
					
			
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
				
						 
						
						 
						
						 
					 
  
  
 
					
			
						 
					
						 
						
						 
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						
						 
					
						 
					
						 
						
						 
						
						
						 
					
						 
				
						 
						
						 
						
						 
					 
			 
			


 
 
4)- Exercice 09 page 313 : Définir l’énergie interne :
| Définir l’énergie interne : On étudie l’échauffement d’une plaquette de frein lors d’un 
			freinage. 1. 
			Proposer un système d’étude et identifier 
			alors le milieu extérieur. 2. 
			Définir l’énergie interne. | 
	
	 Définir l’énergie interne : 1. 
			Système d’étude : 
			
			- 
			
			S = {plaquette de frein} 
			
			- 
			Les plaquettes de frein sont 
			composées de deux principaux éléments :  
			
			- 
			un socle en acier ; 
			
			- 
			et d’un matériau de friction : la 
			garniture.
 
			
			- 
			La garniture (élément d’usure) est 
			composée de plusieurs éléments organiques ou métallique qui doivent supporter de hautes 
			températures.  
			
			- 
			Exemples : cuivre, graphite, 
			particules céramiques, fer, et bronze. 
			
			- 
			Le milieu extérieur : tout ce qui ne 
			fait pas partie du système. 
			
			- 
			
			ME = {disque, support, 
			étrier, air, …} 2. 
			Définition de l’énergie interne. 
			
			- 
			
			L’énergie interne est la 
			somme des énergies cinétique et potentielle microscopiques,  
			
			c’est 
			l'énergie liée à sa structure interne microscopique des entités qui 
			constituent la garniture,  
			
			- 
			
			L’énergie interne est 
			notée : U. 
			
			- 
			Unité : joule 
			(J)
		
			 
	
			 
		

5)- Exercice 11 page 313 : Connaître l’énergie microscopique :
| Connaître l’énergie microscopique : De l’eau est maintenue à ébullition dans une casserole. 
			
			- 
			Relier le début et la fin des phrases 
 | ||||||||||||||||
| Connaître l’énergie microscopique : 
			
			- 
			
			Énergie potentielle 
			microscopique : 
			- 
			Au niveau microscopique, à 
			toute liaison entre deux particules du système est associée une 
			énergie potentielle microscopique. 
			- 
			L’énergie potentielle 
			microscopique est due aux interactions gravitationnelle,  électromagnétique, forte et faible entre les particules qui 
			constituent le système. 
			- 
			On distingue les énergies 
			potentielles microscopiques chimique, électrique, magnétique et 
			nucléaire. 
			
			- 
			Les énergies potentielles résultent 
			de l’énergie de liaisons chimiques et de l’énergie de masse des 
			noyaux. 
			
			- 
			On peut citer d’autres formes 
			d’énergies potentielles microscopiques qui résultent de liaisons 
			intermoléculaires entre les molécules qui constituent le système 
			étudié. 
			
			- 
			Ces énergies potentielles 
			microscopiques varient lors d’un changement d’état de la matière : fusion, liquéfaction, solidification. 
			
			- 
			
			L’énergie cinétique 
			microscopique : 
			- 
			À l'échelle microscopique, 
			les particules constituant le système sont animées de mouvements 
			individuels.  
			- 
			Cette agitation augmente 
			avec la température, on l'appelle l'agitation thermique. 
			
			- 
			C’est l’énergie cinétique 
			microscopique. 
			- 
			Plus la température d’un 
			système est élevée, plus l’agitation thermique des particules qui le 
			constituent est grande et plus son énergie cinétique microscopique est grande. 
			
			- 
			Dans le cas présent : «De l’eau est 
			maintenue à ébullition dans une casserole». 
			 
			
			- 
			Il se produit un changement d’état 
			physique. 
			
			- 
			De l’eau à l’état liquide passe à 
			l’état gazeux. 
			
			- 
			Au cours du changement d’état, la 
			température du système (eau de la casserole) garde la même valeur. 
			
			- 
			C’est la température d’ébullition de 
			l’eau : T = 100 ° C (sous 
			la pression atmosphérique P = 1,013 × 105 Pa) 
			
			- 
			Elle est constante. - En conséquence, l’énergie cinétique microscopique du système reste constante    (T 
			= 100 ° C). 
			
			- 
			L’énergie potentille microscopique 
			est modifiée (changement d’état). 
			
			- 
			Elle augmente. 
 
	
	 Diagramme d’état de l’eau : 
 
 | ||||||||||||||||
6)- Exercice 13 page 313 : Distinguer des variations d’énergie :
| Distinguer des variations d’énergie : 
 À cause des 
			interactions avec les molécules de la haute atmosphère, elle atteint une vitesse 
			limite. 1. 
			Expliquer pourquoi l’énergie mécanique Em 
			de la météorite diminue. 2. 
			Justifier le fait que toutes les formes 
			d’énergie de la météorite sont modifiées. 
			
			- 
			Donnée : 
			
			- 
			Énergie potentielle de la météorite 
			en interaction avec la Terre : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Avec
			EP = 0 J si 
			la distance r est entre 
			les deux corps est infinie. | 
| Distinguer des variations d’énergie : 
			
			- 
			Énergie potentielle de la météorite 
			en interaction avec la Terre : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Avec
			EP = 0 J si la 
			distance r est entre les 
			deux corps est infinie. 1. 
			Évolution de l’énergie mécanique Em 
			de la météorite : 
			- 
			L’énergie mécanique Em 
			d’un système macroscopique résulte de contributions macroscopiques. 
			- 
			L’énergie mécanique 
			Em d’un 
			système est la somme de son énergie cinétique 
			EC et 
			de son énergie potentielle 
			EP. 
			- 
			Relation :  
			- 
			
			Em = EC
			+ EP. 
			- 
			Unité : joule (J) 
			
			- 
			Dans le cas présent,  
			
			- 
			La météorite atteint une vitesse 
			limite : vlim 
			= constante 
			- 
			L’énergie cinétique 
			EC 
			de la météorite devient constante. 
			
			- 
			D’autre part, la météorite se 
			rapproche de la Terre, la distance r entre la Terre et la météorite 
			diminue. 
			
			- 
			Le terme augmente 
			
			- 
			Mais l’énergie potentielle 
	
			 
			
			- 
			L’énergie mécanique 
			Em de la météorite diminue. 2. 
			Modification des formes d’énergie de la 
			météorite. 
			
			- 
			La météorite possède de l’énergie 
			mécanique macroscopique Em et cette énergie diminue. 
			
			- 
			Elle possède de l’énergie interne
			U  
			
			- 
			C’est-à-dire : 
			
			- 
			De l’énergie cinétique 
			microscopique ; 
			
			- 
			De l’énergie potentielle 
			microscopique. 
			
			- 
			Comme la météorite s’échauffe en se 
			rapprochant de la Terre, son énergie cinétique microscopique 
			(agitation thermique) augmente. 
			
			- 
			Son énergie cinétique microscopique 
			est modifiée. 
			
			- 
			De plus la météorite fond 
			partiellement lorsqu’elle se rapproche de la Terre. 
			
			- 
			Il se produit un changement d’état 
			physique, passage de l’état solide à l’état liquide. 
			
			- 
			Ceci entraîne une modification de la 
			structure de la météorite et donc une modification de son énergie 
			potentielle microscopique. 
			
			- 
			Son énergie potentielle microscopique 
			augmente. | 
7)- Exercice 15 page 313 : Reconnaître le mode de transfert de l’énergie :
| Reconnaître le mode de transfert de l’énergie : Lors d’une descente, les skis sont soumis à des forces de 
			frottement exercées par la piste. 1. 
			Le transfert d’énergie de la piste sur le 
			système {skis} s’effectue-t-il par travail ou par transfert 
			thermique ? 2. 
			Préciser le signe de ce transfert. | 
| Reconnaître le mode de 
			transfert de l’énergie : 1. 
			Transfert 
			d’énergie de la piste sur le système {skis} : 
			
			- 
			Travail ou 
			par transfert thermique ? 
			
			- 
			Les skis 
			sont soumis à des forces de frottement exercées par la piste. 
			
			- 
			Lors du 
			déplacement du skieur, les forces de frottement effectuent un 
			travail W. 
			
			- 
			Le 
			transfert d’énergie entre les skis et la piste s’effectue par 
			travail W. 
			
			- 
			D’autre 
			part, il se produit un échauffement local de la neige qui constitue 
			la piste. 
			
			- 
			
			Il se produit aussi un transfert thermique des skis 
			vers la piste. 2. 
			Signe de ce 
			transfert. 
			
			- 
			Le travail 
			des forces de frottement est résistant W < 0 J. 
			
			- 
			Le système 
			{skis} perd de l’énergie et le système {piste} gagne de l’énergie. 
			 | 
8)- Exercice 17 page 314 : Connaître le premier principe :
| Connaître le premier principe : Le premier principe, pour un système au repos macroscopique échangeant de l’énergie mais pas de matière avec le milieu extérieur et qui 
			évolue d’un état initial à un état final, s’écrit :  ΔUi→f 
			= W + Q 1. 
			Indiquer le nom et l’unité de chaque 
			grandeur. 2. 
			Préciser la convention qui détermine le 
			signe. | 
	
	 Connaître le premier principe : 1. 
			Nom et l’unité de chaque grandeur. 
						ΔUi→f 
						= W + Q 
						
						ΔUi→f 
						: Variation d’énergie interne (joule : J) 
						W : 
						Travail (électrique ou mécanique) 
						(joule : J) 
						Q : 
						Transfert thermique (joule : J) 2. 
			
			Convention 
			qui détermine le signe. 
			► 
			Établissement d’un bilan 
			énergétique : 
			
			- 
			Il faut :  
			
			- 
			Définir le système au repos 
			macroscopique, l’extérieur est alors le reste de l’Univers ; 
			
			- 
			Écrire le premier principe de la 
			thermodynamique ; 
			
			- 
			Relever tous les transferts d’énergie 
			ayant lieu entre le système et le milieu extérieur 
			
			- 
			Repérer le sens de chaque transfert 
			d’énergie ; 
			
			- 
			Attribuer un
			signe positif si l’énergie est
			reçue 
			par le système ; 
			
			- 
			Attribuer un
			signe négatif si l’énergie est
			
			cédée par le système ; 
			
			- 
			Effectuer la somme de tous ces 
			transferts : 
			
			- 
			Si la somme est
			positive, l’énergie interne du 
			système a 
			augmenté ; 
			- 
			Si la somme est 
			négative, 
			l’énergie interne du système a 
			
			diminué.
		
			 
	
			 
		
					
			
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
				
						 
					
9)- Exercice 21 page 314 : Prévoir l’évolution de l’énergie interne :
| Prévoir l’évolution de l’énergie interne : On souhaite refroidir de 5 ° C une masse m de jus de fruit 
			considéré comme incompressible. 1. Donner l’expression de la variation d’énergie interne ΔUi→f du système {jus de fruit} en fonction notamment de la 
			masse du système et de sa variation de température entre l’état initial et l’état final. 2. 
			Prévoir le signe de la variation d’énergie 
			interne de ce système. | 
	
	 Prévoir l’évolution de l’énergie interne : 1. 
			Expression de la variation d’énergie interne
			ΔUi→f du système {jus de fruit} : 
			- 
			La variation d’énergie 
			interne ΔUi→f 
			d’une masse m de substance dont la température varie  
			d’une 
			valeur initiale θi à une valeur finale θf, 
			sans changement d’état, est donnée par la 
			relation suivante :  
						
						ΔUi→f = m . c . (θf 
						
						– θi ) = m . c . Δθ 
						
						ΔU : 
						Variation d’énergie interne en joule (J) 
						
						m : 
						masse de jus de fruit en kilogramme (kg) 
						
						c : 
						capacité thermique massique du jus de fruit 
						(J.kg 
						– 1.° C– 1) ou (J.kg – 1. K– 
						1) 
						
						θf
						
						– θi = 
						Δθ 
						
						: Variation de température
						
						en 
						(°C) ou (K) 
						
						θi 
						: Température à l’état initial en 
						(°C) ou (K) 
						
						θf 
						: Température à l’état final en 
						(°C) ou (K) 2. 
			Signe de la variation d’énergie interne de 
			ce système. 
			
			- 
			On souhaite refroidir de 5 ° C une 
			masse m de jus de fruit considéré comme incompressible. 
			
			- 
			La température du système {jus de 
			fruit} diminue : 
			
			- 
			Δθ 
			= – 5 ° C 
			
			- 
			Le système {jus de fruit} perd de 
			l’énergie : 
			
			- 
			ΔUi→f < 0 J
		
			 
	
			 
		
					
			
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
					
						 
				
						 
					
10)- Exercice 23 page 315 : Pression d’un gaz :
| Pression d’un gaz : Les appareils respiratoires contenant une bouteille d’air comprimé permettent aux sapeurs-pompiers de travailler dans des atmosphères toxiques lors d’un incendie. L’air contenu dans une bouteille d’air comprimé de volume V1 = 6,0 L est à la pression P1 
			= 300 bar et à la température T1 = 290 K. Pour simplifier l’étude, on considère que, dans ces conditions de 
			température et de pression, cet air peut être assimilé à un gaz parfait. 1. 
			Exprimer la quantité de matière n 
			d’air contenu dans la bouteille. 2. 
			On souhaite calculer le volume V2 
			d’air que cette bouteille peut libérer à la température T2 
			= 320 K et à la pression atmosphérique Patm = 
			1,013 × 105 Pa. a. 
			Exprimer la quantité de matière n de 
			l’air en fonction des données de la 
			question 2. b. 
			Calculer la valeur du volume V2. 3. En opération, le volume d’air inspiré par un pompier peut atteindre 90 L par minute.  Quelle peut être la durée 
			de l’intervention ? 
			
			- 
			Données : 
			
			- 
			1 bar = 1 × 105 Pa.  
			
			- 
			R = 8,314 Pa . m3 
			.mol–1 . K–1. | 
| Pression d’un gaz : 1. 
			Quantité de matière n d’air contenu 
			dans la bouteille. 
			
			- 
			On considère que, dans ces conditions 
			de température et de pression, l’air peut être assimilé à un gaz parfait. 
			
			- 
			On peut utiliser l’équation d’état 
			des gaz parfaits : 
			- 
			Cette équation relie les 
			différentes grandeurs macroscopiques qui permettent de le décrire. 
 - Relation donnant la quantité de matière d'air contenu dans la bouteille : - 
			 
			
			- 
			Application numérique :  
			
			- 
			 2. 
			Volume V2 d’air que cette 
			bouteille peut libérer la bouteille : 
			
			- 
			La température
			T2 = 320 K 
			
			- 
			La pression atmosphérique
			Patm = 1,013 × 105 Pa. a. 
			Quantité de matière n de l’air en 
			fonction des données de la question 2. 
			
			- 
			On utilise l’équation d’état des gaz 
			parfaits : 
			
			- 
			 b. 
			Valeur du volume V2. 
			
			- 
			 
			
			- 
			Application numérique : 
			
			- 
			 3. 
			Durée de l’intervention : 
			
			- 
			En opération, le volume d’air inspiré 
			par un pompier peut atteindre 90 L par minute. 
			
			- 
			On connait le débit volumique de 
			l’air : 
			
			- 
			
			DV = 90 L . 
			min–1 
			
			- 
			 | ||||||||||||
11)- Exercice 26 page 316 : Il y a film et film :
| Il y a film et film : 
 Une alternative aux films plastiques alimentaires est le film à 
			la cire d’abeille.  Une couche fine de cire d’abeille, d’huile de jojoba et de résine 
			de pin est déposée sur un tissu en coton biologique.  Chaque film est lavable et réutilisable environ 120 fois. Pour fabriquer la couche de cire, on utilise une cuve en 
			aluminium de masse m0 = 0,250 kg, chauffée par un conducteur 
			ohmique.  La puissance électrique
			Pelec de l’appareil est 200 W. La cuve contient m1 = 100 g de cire solide.  L’ensemble est initialement à la température ambiante θa 
			= 19 ° C. 1. 
			Cire et échanges d’énergie : a. 
			Calculer la variation d’énergie interne 
			ΔU1 du système {cuve et cire} nécessaire pour atteindre la 
			température de fusion de la cire. b. 
			Quelles formes d’énergie de la cire sont 
			modifiées lors du chauffage ? 2. 
			Premier principe : a. 
			Rappeler le premier principe pour le système 
			et en déduire le transfert thermique Q1 à apporter au système par 
			l’appareil pour atteindre la température de fusion. b. 
			Indiquer le signe de Q1. c. 
			Calculer la durée Δt1 de 
			chauffage nécessaire pour réaliser ce transfert thermique. 3. 
			Il faut attendre une durée de Δt2 
			= 6,0 min pour que la cire fonde totalement. Calculer le transfert thermique
			Q2 correspondant. 4. 
			En déduire le transfert thermique Qtot 
			nécessaire à la fusion de 100 g de cette cire. 
			
			- 
			Données : 
			
			- 
			Température de fusion de la cire :
			θf = 64 ° C 
			
			- 
			Capacités thermiques massiques : 
			
			- 
			De l’aluminium :
			cAl(s) = 897 
			J . kg–1 . °C–1 
			
			- 
			De la cire :
			ccire = 3,4 × 
			103 J . kg–1 . °C–1 | 
| Il y a film et film : 
 1. 
			Cire et échanges d’énergie : a. 
			Calcul de la variation d’énergie interne 
			ΔU1 du système {cuve et cire} : 
			
			- 
			Système d’étude : {cuve et cire}  
			
			- 
			Il est incompressible. 
			
			- 
			Il est constitué :  
			
			- 
			Cuve en aluminium de masse :
			 m0 
			= 0,250 kg, 
			
			- 
			La cuve contient de la cire solide :
			 m1 = 100 g.  
			
			- 
			Température initiale du système : 
			θi = θa = 19 ° C 
			
			- 
			Température finale du système :
			θf =
			θf = 64 ° C 
			
			- 
			Transfert par chaleur produisant une 
			élévation de température (sans changement d’état) : - La variation d’énergie interne ΔU d’une masse m de substance dont la température varie d’une valeur initiale θi à une valeur finale θf, sans changement d’état, 
			est donnée par la relation suivante :  
 
			
			- 
			Dans le cas présent, le système est 
			constitué d’une cuve en aluminium et de cire d’abeille : 
			
			- 
			ΔU1 = m0 
			. cAl(s) 
			. (θf – θa) + m1 
			. ccire 
			. (θf – θa) 
			
			- 
			ΔU1 = (m0 
			. cAl(s) 
			+ m1 
			. ccire 
			) . (θf – θa) 
			
			- 
			ΔU1 = (0,250 
			× 897 + 0,100 × 3,4 × 103) . 
			(64 – 19) 
			
			- 
			ΔU1 ≈ 2,53 × 104 J 
			
			- 
			ΔU1 ≈ 2,5
			× 104 J b. 
			Formes d’énergie de la cire modifiées lors 
			du chauffage : 
			
			- 
			La température du système augmente : 
			
			- 
			La température de la cire augmente. 
			
			- 
			L’agitation thermique des entités 
			chimiques qui constituent la cire augmente. 
			
			- 
			L’énergie cinétique microscopique des 
			entités chimiques qui constituent la cire augmente. 
			
			- 
			On chauffe la cire, mais elle ne fond 
			pas. Il n’y a pas de changement d’état physique. 
			
			- 
			L’énergie potentielle microscopique 
			de la cire ne varie pas. 2. 
			Premier principe : a. 
			Énoncé du premier principe pour le système. 
			
			- 
			Énoncé :  
			- 
			La variation ΔUi→f
			d’énergie 
			interne d’un système, 
			- 
			Qui n’échange pas de matière 
			avec le milieu extérieur, 
			- 
			Au repos macroscopique, 
			- 
			Qui évolue d’un état initial 
			(i) à un état final (f) 
			- 
			Est égale à la somme des 
			énergies échangées par le système avec le milieu extérieur, 
			- 
			Par travail 
			W 
			et / ou par transfert thermique 
			
			Q : 
 
			
			- 
			Dans le cas présent,  
			
			- 
			Le système d’étude : {cuve et cire}  
			- 
			La somme des énergies 
			échangées par le système avec le milieu extérieur :  
			
			- 
			Le système reçoit de l’énergie du 
			milieu extérieur grâce au conducteur ohmique sous forme de transfert 
			thermique. 
			
			- 
			Transfert thermique :
			Q1  
			
			- 
			Il ne reçoit pas de transfert 
			d’énergie par travail : W = 0 J. 
			
			- 
			Enfin, on néglige les transferts 
			thermiques entre l’air ambiant et le système {cuve et cire}. 
			
			- 
			On peut écrire : 
			
			- 
			ΔUa→f =
			Q1 b. 
			Signe de Q1. 
			
			- 
			Le milieu extérieur cède de l’énergie 
			par transfert thermique au système {cuve et cire}  
			
			- 
			Le système {cuve et cire} gagne 
			l’énergie Q1 
			
			- 
			
			Q1 > 0 J c. 
			Calcul de la durée Δt1 de 
			chauffage nécessaire pour réaliser ce transfert thermique. 
			
			- 
			Le transfert thermique
			Q1 provient de l’énergie reçue par travail électrique par 
			l’intermédiaire du conducteur ohmique. 
			
			- 
			Il fournit l’énergie électrique :  
			
			- 
			
			Welec =
			Pelec .
			Δt1 
			
			- 
			Il en découle que : 
			
			- 
			
			Welec =
			Pelec .
			Δt1 =
			Q1 
			
			- 
			On en déduit l’expression suivante : 
			
			- 
			 3. 
			Transfert thermique Q2 
			correspondant. 
			
			- 
			Durée de
			Δt2 = 6,0 min 
			pour que la cire fonde totalement. 
			
			- 
			Le transfert thermique
			Q2 correspond au passage de 100 g de cire de l’état 
			solide à l’état liquide à la température constante de fusion de la 
			cire θf = 64 ° 
			C. 
			
			- 
			Elle correspond à l’énergie 
			électrique cédée par le milieu extérieur par l’intermédiaire du 
			conducteur ohmique de puissance 200 W pendant la durée
			Δt2 = 6 min. 
			
			- 
			
			Q2 =
			Welec =
			Pelec .
			Δt2 
			
			- 
			
			Q2 = 200 × 6,0 
			× 60 
			
			- 
			
			Q2 ≈ 7,2 × 104 
			J 4. 
			Transfert thermique Qtot 
			nécessaire à la fusion de 100 g de cette cire. 
			
			- 
			Choix du système : 
			
			- 
			Si le système d’étude est : {cuve et 
			cire} : 
			
			- 
			Alors l’énergie totale est : 
			
			- 
			
			Qtot =
			Q1 +
			Q2 
			
			- 
			
			Qtot ≈ 2,5 × 
			104 + 7,2 × 104 
			
			- 
			
			Qtot ≈ 9,7 × 
			104 J 
			
			- 
			Maintenant, si le système d’étude est 
			la cire exclusivement : 
			
			- 
			
			Qtot 
			représente le transfert thermique suivant : 
			
			- 
			Premier temps on chauffe 100 g de 
			cire de 19 ° C à 64 ° C ; 
			
			- 
			
			Q’1 = m1 
			. ccire 
			. (θf – θa) 
			
			- 
			
			Q’1 = 0,100 × 
			3,4 × 103 × (64
			– 19) 
			
			- 
			
			Q’1 ≈ 1,53 
			× 104 J 
			
			- 
			
			Q’1 ≈ 1,5 × 104 
			J 
			
			- 
			Deuxième temps,
			 on fait fondre les 100 g de 
			cire  
			
			- 
			
			Q2 ≈ 7,2 × 104 
			J 
			
			- 
			
			Qtot =
			Q’1 +
			Q2 
			
			- 
			
			Qtot ≈ 1,5 × 
			104 J + 7,2 × 104 J 
			
			- 
			
			Qtot ≈ 8,7 × 
			104 J 
			► 
			Chaleur latente de changement 
			d’état : 
			
			- 
			L’énergie transférée lors d’un 
			changement d’état d’un kilogramme d’une espèce chimique est 
			l’énergie massique de changement d’état, notée L de cette 
			espèce. 
			
			- 
			Cette énergie est aussi appelée 
			chaleur latente de changement d’état. 
			
			- 
			Elle s’exprime en J. kg–1. 
			
			- 
			L’énergie Q transférée lors du 
			changement d’état d’une masse m de l’espèce est donnée par la 
			relation suivante :  
 
			
			- 
			En conséquence, la grandeur
			Q2 ≈ 7,2 × 104 J permet de calculer la chaleur 
			latente de fusion Lf 
			de la cire d’abeille : 
			
			- 
			
			Q2 = m1 
			. Lf 
			
			- 
			 
			
			- 
			La cire d'abeille est un mélange 
			complexe d'esters d’acides gras, d'acides gras et de composés 
			hydrocarbonés. 
			
			- 
			Un corps gras est un triester d'acide 
			gras et du glycérol. 
			
			- 
			Les corps gras sont encore appelés 
			triglycérides. 
			
			- 
			Le glycérol est un trialcool : le 
			propan-1, 2, 3 -triol. 
			
			- 
			Un acide gras est un acide 
			carboxylique à chaîne linéaire, saturée ou non, possédant en général 
			un nombre pair d'atomes de carbone, entre 4 et 22. 
 | 
12)- Exercice 29 page 317 : Équation de Van der Waals :
| Équation de Van der Waals : Un gaz ne peut être assimilé à un gaz parfait lorsque sa pression 
			devient trop importante. On parle alors de « gaz réels ». L’équation de Van der Waals 
			permet de mieux décrire un gaz réel que l’équation d’état des gaz parfaits : 
 Une correction est effectuée dans l’équation de Van der Waals sur 
			la pression et le volume, à l’aide de deux coefficients a et b qui dépendent 
			de la nature du gaz. 1. 
			Montrer que, lorsque le volume V de 
			gaz réel est très grand, l’équation d’état des gaz parfaits devient une très bonne 
			approximation de l’équation de Van der Waals. 2. On veut comparer le modèle du gaz parfait à celui du gaz réel de Van der Waals pour deux exemples, le néon Ne et le dioxyde de carbone CO2. Chacun de ces gaz 
			occupe une enceinte close de volume V = 5,00 L, à 
			une température T = 300,0 K, avec la même quantité de matière n = 1,00 mol. a. 
			Calculer la pression P de chacun de 
			ces gaz dans le cadre du modèle du gaz parfait. b. 
			Calculer de même la pression P’ de 
			chacun de ces gaz dans le cadre du modèle du gaz réel de Van der Waals. c. 
			Comparer P et P’. Lequel de 
			ces gaz se rapproche le plus du gaz parfait ? interpréter. 
			
			- 
			Données : 
			
			- 
			Constante des gaz parfaits :
			R = 8,314 Pa . m3 
			. mol–1 . K–1. 
			
			- 
			Pour le néon : 
			
			- 
			
			a = 0,02135 Pa 
			. m6 . mol–2 et
			b = 1,71 × 10–5 
			m3 . mol–1. 
			
			- 
			Pour le dioxyde de carbone : 
			
			- 
			
			a = 0,364 Pa 
			. m6 . mol–2 et
			b = 4,267 × 10–5 
			m3 . mol–1. | 
| Équation de Van der Waals : 
			 
			 
 
			
			- Pour les corps purs :  
			
			-  
			 
			
			- 
			
			TC : 
			Température critique du corps pur en kelvin (K). 
			
			-  PC : Pression 
			critique du corps pur en pascal (Pa). 
			-  R : 
			constante des gaz parfaits : 
			R = 8,314 Pa . m3 
			. mol–1 . K–1 
			
			-   
			
			-  Diagramme
			P =
			f (T)  
 
			
			-  Le point critique d’un corps pur est 
			le point du diagramme température-pression où s’arrête la courbe 
			d’équilibre liquide-vapeur. 
			
			-  Le point triple du diagramme 
			température-pression est le point pour lequel l’état solide, l’état 
			liquide et l’état gazeux coexistent en équilibre. 
			 
			 
			 
 -  
			Le néon est un gaz monoatomique dans les CNTP. -
			À la pression atmosphérique, il se condense à 27 K et 
			se solidifie à 24,6 K. -
			Le néon est un gaz extrêmement inerte. -
			La couleur orange rougeâtre, que le néon émet (tubes 
			néon), est utilisé pour les enseignes lumineuses. 
			 1. 
			Le volume V de gaz réel est très 
			grand. 
			
			- 
			Équation d’état des gaz parfaits :  
			
			- 
			
			P .
			V =
			n . R .
			T 
			
			- 
			 Équation 
			de Van der Waals : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Étude du terme  
			
			- 
			 
			
			- 
			Étude du terme : 
			
			- 
			 
			
			- 
			En conclusion : 
			
			- 
			 2. 
			Comparaison des deux équations. a. 
			Valeur de la pression P de chacun de 
			ces gaz dans le cadre du modèle du gaz parfait. 
			
			- 
			 b. 
			Valeur de la pression P’ de chacun de 
			ces gaz dans le cadre du modèle du gaz réel de Van der Waals. 
			
			- 
			Pression
			P’ : 
			
			- 
			Relation : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Cas du néon : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Pour le dioxyde de carbone : 
			
			- 
			 c. 
			Comparaison de P et P’. 
			
			- 
			Les différentes valeurs : 
			
			- 
			
			P ≈ 4,99 × 105 
			Pa ; P’Ne ≈ 
			5,00 × 105 Pa ; P’CO2 ≈ 
			4,89 × 105 Pa  
			
			- 
			
			P’Ne ≈
			P 
			
			- 
			Le néon se rapproche le plus du gaz 
			parfait. 
			
			- 
			Interprétation : 
			
			- 
			Le néon est un gaz monoatomique alors 
			que le dioxyde de carbone est une molécule constituée de deux atomes 
			d’oxygène O et d’un atome 
			de carbone C. 
			
			- 
			Rayon de l’atome de néon :
			RNe = 38 pm. 
			 
			
			- 
			Rayon de l’atome de carbone  :
			RC = 70 pm 
			
			- 
			Rayon de l’atome d’oxygène  :
			RO = 60 pm 
			
			- 
			Caractéristiques 
			de la molécule de dioxyde de carbone : 
 
			
			- 
			La molécule de dioxyde de carbone est 
			plus grande que l’atome de néon. 
			
			- 
			Le néon, gaz monoatomique se 
			rapproche plus du modèle du gaz parfait que la molécule de dioxyde 
			de carbone. - De plus, le néon est un gaz rare. 
			-  Les 
			interactions entre les atomes de néon sont négligeables. 
			► 
			Le gaz parfait :  
			
			- 
			Un gaz est dit parfait si la taille 
			de ses entités est négligeable devant la distance qui les sépare et 
			si les interactions entre elles sont négligeables. | |||||||||||||||||||
| 
 |