| Évolution d’un système siège d’une transformation nucléaire | |
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| Préparation à L’ECE : Le technétium | 
| Préparation à L’ECE : Le technétium : Dans un tableau périodique des éléments chimiques, la pace correspondant au numéro atomique égal à 43 est très longtemps restée vacante, alors que les éléments jusqu’à Z = 92 étaient déjà en place. Ce n’est qu’en 1937 que cet élément a été détecté dans une des parties d’un cyclotron, grâce aux scientifiques E. Segré et C. Perrier. Ils en identifièrent les isotopes 95 et 97 et donnèrent à ce nouvel élément le nom de technétium, de symbole Tc. Parmi les isotopes 
		du technétium, seuls neuf d’entre eux aboutissent par désintégration radioactive à 
		un noyau fils stable. 
 1. À l’aide du logiciel Nucleus-Win, visualiser la ligne correspondant au technétium et celles qui se trouvent juste au-dessus en en dessous, en centrant sur le technétium 99. 2. 
		Identifier les neufs isotopes du technétium qui 
		donnent un isotopes stable. Expliquer la démarche. 3. 
		Expliquer pourquoi le technétium parmi les 92 
		premiers éléments chimiques du tableau périodique, a été identifié le 
		dernier. 
		
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		Données : 
		
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		Demi-vie de quelques isotopes du 
		technétium : 
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| Préparation à L’ECE : Le technétium : 1. 
		Utilisation du logiciel Nucleus-Win. 
		
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		Visualisation de la ligne correspondant 
		au technétium et celles qui se trouvent juste au-dessus en en dessous -Isotope central : le technétium 99 :  
		
		Légende 
 
		
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		Les isotopes du technétium dont le 
		nombre masse A est compris 
		entre 86 ≤ 
		A ≤ 97 sont 
		émetteurs β+. 
		
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		 -Par désintégration β+, on obtient un noyau de molybdène stable pour les isotopes du technétium suivants : 
		
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		Les isotopes du technétium dont le 
		nombre masse A est compris 
		entre 98 ≤ 
		A ≤ 120 sont émetteurs
		β–. 
		
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		 -Par désintégration β–, on obtient un noyau de ruthénium stable pour les isotopes du technétium suivants : 
		
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		 - Lorsque l’on parcourt ligne relative au Technétium, on ne trouve aucun noyau stable contrairement au 
		molybdène (Mo 94, 94, 96, 97) et au ruthénium (Ru 98, 99, 
		100, 101, 102). 
		
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		Le molybdène a été découvert au 18e 
		siècle (1781) et le ruthénium au 19e siècle. 
		
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		Alors que le technétium a été découvert 
		au 20e siècle ((1937) 
		
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		Année de découverte du technétium :  
 
		
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		Éléments de transition : 
		
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		Le technétium ne possède aucun isotope 
		stable.  
		
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		Le technétium a de nombreux états 
		métastables. 
		
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		Le plus « stable » est le
		 
		
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		Il possède une durée de demi-vie de 90,0 
		jours. 
		
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		C’est pour cette raison qu’il a été 
		découvert en dernier. | 
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