| Chap. N° 03 | Propriétés des ondes. Cours. | 
 | 
|  | 
| Exercices : énoncé avec correction a)- Exercice 6 page 76 : 
	  Connaître le phénomène de diffraction. b)- Exercice 9 page 76 : 
	  Connaître le phénomène d’interférences. c)- Exercice 13 Page 76 : 
	  Comparer des fréquences. d)- Exercice 15 page 77 : 
	  Largeur d’une tache centrale. e)- Exercice 17 page 77 : 
	  Mailles du voilage.  
					 f)- Exercice 24 Page 80 : 
	  Calcul d’une longueur d’onde. | 
1)- Observation avec des ondes 
				lumineuses.
a)-  
				Expérience :
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						 | 
						 | 
| 
						
						 | |
| 
						Schéma du 
							montage 
						 
						 | |
| Observations : 
						 
						 
						 | |
| 
						 | |
| 
						 | |
-  
				Vidéos : diffraction par une fente
►Observations : 
			
			
-  
				Lorsque la fente est large, environ 2 mm, le faisceau 
				laser n’est pratiquement pas modifié. 
			
-  
				On diminue la largeur de la fente.
- Lorsque la largeur de la fente est inférieure à 1 mm, on observe sur l’écran un étalement du faisceau laser perpendiculairement à la fente.
-   Cet étalement de la lumière est 
				appelé figure de diffraction.
-  
				Elle est constituée d’une tache centrale et de taches 
				secondaires situées symétriquement par rapport à la tache 
				centrale.
- La tache centrale est très lumineuse et deux fois plus large que les autres taches.
-   La luminosité diminue très vite 
				lorsqu’on s’éloigne de la tache centrale.
-  
				La fente a diffracté la lumière dans une direction 
				perpendiculaire à celle de la fente. 
			
-  
				La diffraction est d’autant plus marquée que la largeur 
				de la fente est petite.
b)- 
				Écart angulaire :
-  
				L’écart angulaire est l’angle sous lequel est vue la 
				moitié de la tache centrale depuis l’objet diffractant. 
			
-  
				C’est le demi-diamètre angulaire de la tache centrale.
-  
				Schéma :
			
			
- F : milieu de la fente. O milieu de la tache centrale.
- M milieu de la première extinction.
-   D 
				est très grand devant OM.
- Lorsqu’un faisceau parallèle de lumière de longueur d’onde λ traverse une fente de largeur a,
-   l’écart angulaire 
			θ, entre le centre 
				de la tache centrale et la première extinction est donné par la 
				relation : 
			
			
-  
				
			
-  
				Cette relation permet de déterminer expérimentalement la 
				longueur d’onde λ de la lumière d’un faisceau connaissant 
				la largeur de la fente.
- Dans le cas ou D >> L, on peut déterminer la relation donnant la largeur de la tache centrale en fonction de la longueur d’onde λ et de la largeur de la fente.
-   On 
				fait l’approximation des petits angles.
-  
				
			
			
2)- La diffraction dans différentes 
				situations.
-  
				Le phénomène de diffraction peut s’observer aussi bien 
				avec les ondes électromagnétiques qu’avec les ondes mécaniques.
-  
				C’est grâce au phénomène de diffraction que l’on a mis en 
				évidence le caractère ondulatoire de la lumière.
-  
				Exemples :
-  
				Le phénomène de diffraction dépend des dimensions de 
				l’ouverture ou de l’obstacle.
			
-  
				Ce phénomène se manifeste si les dimensions de 
				l’ouverture ou d’un obstacle sont du même ordre de grandeur que 
				la longueur d’onde λ.
-  
				L’onde diffractée a même fréquence 
			f et même 
				longueur d’onde λ que l’onde incidente.
-  
				Pour une longueur d’onde 
			λ donnée, le phénomène de 
				diffraction est d’autant plus marqué que la dimension de 
				l’ouverture ou de l’obstacle est plus petite.
			
			 Expérience :
 
				Expérience :
			
-  
				On produit des ondes rectilignes grâce à la cuve à onde 
				et on observe ce qui se passe lorsque ces ondes rectilignes 
				rencontrent une ouverture.
-  
				Lorsque l’ouverture est grande, les ondes rectilignes 
				sont peu affectées lors du passage de celle-ci.
-  
				Lorsque l’ouverture devient plus petite, on observe une 
				modification de l’onde rectiligne après le passage de 
				l’ouverture.
-  
				On a mis en évidence le phénomène de diffraction. 
			
			
-  
				Ce phénomène est caractéristique des ondes.
-  
				 L’onde qui arrive sur l’ouverture est appelée : 
			onde 
				incidente et l’onde après l’ouverture est appelée 
			onde 
				réfractée.
-  
				Images et schémas : 
			
			 
 
				
			
			
			
			 
			
			
1)- Interférences en lumière 
				monochromatique.
			
			 Expérience de Young.
 
				Expérience de Young.
| La tache centrale de diffractionest striée de fines bandes rectilignes rouges, parallèles et équidistantes. 
						 | |
| 
						 | |
-  
				Au phénomène de diffraction se superpose le phénomène 
				d’interférence. 
			
-  
				L’ensemble des franges alternativement brillantes 
				(rouges) et sombres constitue des franges d’interférences.
-  
				La distance entre deux franges sombres ou 
				brillantes (rouges) est la même. 
			
			
-  
				On l’appelle l’interfrange, noté 
			i.
			
2)- Interférences avec les 
				ultrasons.
			
			 Expérience avec les ultrasons :
 
				Expérience avec les ultrasons :
-  
				On utilise les ultrasons pour mettre en évidence ce 
				phénomène qui est caractéristique des ondes.
-  
				Dispositif expérimental :
			
- Première étape : Seul l’émetteur E1 est en marche.
-    
				On déplace le récepteur R.
-  
				Lorsque l’on éloigne le récepteur 
			R, les courbes 
				se décalent l’une par rapport à l’autre. 
			
-  
				Lorsque les courbes sont en phase, cela veut dire que les 
				points E1 et 
			R sont dans le même état 
				vibratoire. 
			
-  
				Pour que les courbes soient de nouveau en phase, il faut 
				déplacer le récepteur de la distance d 
			égale à une 
				longueur d’onde λ.
- Deuxième étape : Seul l’émetteur E2 est en marche.
-   On déplace le récepteur R.
-  
				Idem.
-  
				Troisième étape : Les deux émetteurs 
			E1 
				et E2 sont en marche. 
			
			
-  
				On déplace le récepteur R le long d’une droite 
				perpendiculaire à (E1, E2). 
			
			
-  
				On constate qu’en certains points, l’amplitude du signal 
				reçu est maximale et qu’en d’autres points, l’amplitude du 
				signal reçu est minimale.
-  
				Si on place le récepteur à un endroit ou l’amplitude est 
				maximale et que l’on arrête E2, on remarque 
				que la vibration émise par E1  
			est en phase 
				avec celle reçue par le récepteur R.
- On recommence, mais maintenant, on arrête E1.
-   On fait la même remarque.
-  
				En conséquence, lorsque l’amplitude est maximale, les 
				vibrations émises par E1 et E2 arrivent au récepteur en phase : elles ajoutent leurs 
				effets.
-  
				Quatrième étape : On place le récepteur 
			R 
				en un point ou l’amplitude est minimale.
-  
				Idem.
-  
				Lorsque l’amplitude est minimale, les vibrations sont en 
				opposition de phase : elles annulent leurs effets.
			
-  
				Différence de marche et chemin optique :
-  
				On définit le chemin optique comme le produit de l’indice
				n du milieu de réfraction par la distance 
			e parcourue par le rayon lumineux dans le milieu. :
-  
				Le chemin optique (d) = 
			n . e
			
-  
				La différence de marche 
			δ entre 2 ondes est égale 
				à la différence de leur chemin optique :
-  
				δ  = (d2) 
			– (d1) 
				= n2 . e2 – n1 
				. e1
-  
				Avec : (d1) = 
			n . (SS1 
				+ S1M)
-  
				Et : (d2) = 
			n . (SS2 
				+ S2M)
-  
				Avec n = 1, on écrit : δ  = |(SS2 
				+ S2M) 
			– (SS1 + 
			S1M)|
| 
						 | Si les deux rayons lumineux se déplacent dans le même milieu d’indice n, il existe une différence de 
							chemin optique entre les deux rayons.  
						 On parle de différence de 
							marche δ. Il existe entre les deux ondes lumineuses arrivant en 
						M une différence de 
							marche δ. δ  = |(SS2 
							+ 
						S2M) 
						 –
						(SS1 
							+ S1M)| | 
-  
				Si δ 
				 = k . λ, 
			
			
-  
				Les deux ondes arrivent au point 
			M en phase et 
				elles ajoutent leurs effets. 
			
-  
				On dit que l’interférence est constructive. 
			
			
-  
				On obtient une frange brillante.
-  
				Si,
			
-  
				Les deux ondes arrivent au point 
			M en opposition 
				de phase et elles annulent leurs effets. 
			
-  
				On dit que l’interférence est destructive. 
			
			
-  
				On obtient une frange sombre.
			
4)- Nécessité de sources cohérentes.
-  
				
			pour 
				obtenir des interférences, les sources doivent être cohérentes. 
			
			
-  
				Elles doivent être synchrones et présenter un déphasage 
				constant. 
			
-  
				En optique deux sources lumineuses indépendantes ne sont 
				jamais cohérentes. 
			
-  
				C’est pour cela que pour observer des franges 
				d’interférences, on utilise deus sources secondaires obtenues à 
				partir d’une source unique de petite dimension.
-  
				Les faisceaux émis par 2 sources indépendantes ne 
				peuvent pas interférer. 
			
-  
				On réalise 2 sources mutuellement cohérentes en 
				éclairant 2 fentes avec un faisceau émis par une source primaire 
				de petite dimension ou avec un faisceau laser.
			
-  
				Lors d’interférences lumineuses, l’interfrange, notée 
			i, est la distance séparant deux franges brillantes 
				consécutives ou deux franges sombres consécutives.
-  
				Dans le cas des fentes de Young, pour une lumière 
				monochromatique de longueur d’onde λ :
-  
				Expression de l’interfrange :
-  
				Schéma :
			
			
-  
				
			
-  
				La mesure de la valeur de l’interfrange 
			i permet 
				de déterminer la valeur de la longueur d’onde 
			λ de la 
				lumière monochromatique utilisée.
6)- Interférence en lumière blanche.
-  
				Les couches minces, constituées d’huile, d’essence, les 
				bulles de savon, les DVD, éclairés en lumière blanche font 
				apparaître des irisations colorées.
-  
				Les ondes lumineuses sont réfléchies sur les parois 
				interne et externe de telles couches et elles peuvent 
				interférer.
-  
				Chaque radiation de longueur d’onde 
			λ donne sa 
				propre figure d’interférences.
-  
				La superposition des différentes figures d’interférences 
				conduit à l’observation de zones colorées.
-  
				Les couches minces éclairées en lumière blanche font 
				apparaître des couleurs interférentielles.
- Une onde électromagnétique ou mécanique émise avec une fréquence fE est perçue avec une fréquence différente fR lorsque l’émetteur et le récepteur sont en déplacement relatif.
-    C’est ce que l’on appelle 
				l’effet Doppler.
-  
				Exemple :
			
-  
				Le son d’une sirène est perçu plus aigu lorsque le 
				véhicule qui l’émet s’approche de l’observateur. 
			
-  
				Le son de la sirène est plus grave lorsque le véhicule 
				qui l’émet s’éloigne de l’observateur.
-  
				Ce phénomène a été prévu par C. DOPPLER en 1842 et 
				confirmé expérimentalement en 1845 par C. BUYS-BALLOT.
			
2)- Vitesse relative d’un émetteur 
				par rapport à un récepteur.
-  
				L’effet Doppler constitue une méthode de mesure des 
				vitesses.
b)- 
				Détermination par effet Doppler de la vitesse d’un 
				émetteur sonore qui s’approche (exercice 27 page 81) :
			
			 La valeur de la vitesse d’un émetteur 
			E 
				s’approchant d’un observateur immobile (A) peut être 
				calculée par effet Doppler.
 
				La valeur de la vitesse d’un émetteur 
			E 
				s’approchant d’un observateur immobile (A) peut être 
				calculée par effet Doppler. 
			
			-   On se propose de retrouver la 
				relation liant les diverses grandeurs mises en jeu :
-  
				fE est la fréquence du signal produit 
				par l’émetteur ;
-  
				fA est la fréquence du signal reçu par 
				l’observateur ;
-  
				V est la valeur de la vitesse de l’onde ;
-  
				VE est la valeur de la vitesse de 
				l’émetteur par rapport à l’observateur.
-  
				Les valeurs des vitesses sont mesurées dans un 
				référentiel terrestre :
-  
				On se place dans le cas où :
-  
				L’air est supposé immobile par rapport au son.
-  
				La vitesse de déplacement de l’émetteur par rapport au 
				récepteur est faible et inférieure à la vitesse de l’onde dans le 
				milieu de propagation.
-  
				En conséquence, on considère que : 
			VE 
				<< V
-  
				Schéma représentatif de la situation :
			
			 À 
				la date t0 = 0 s, 
			E est à la distance
				d de 
			A et émet une onde.
 À 
				la date t0 = 0 s, 
			E est à la distance
				d de 
			A et émet une onde. 
			
			-    Exprimer littéralement la 
				date t1 au bout de laquelle le signal est 
				perçu par A.
-  
				Expression de la date 
			t1 :
-  
				L’onde est émise de l’émetteur (E) se déplace à la 
				vitesse V.
			
-  
				La distance parcourue par l’onde est 
			d.
-  
				Date t1 au bout de laquelle le signal 
				est perçu par A :
-  
				
			
			
			 Déterminer 
				l’expression de la distance dE parcourue par 
				l’émetteur (E) pendant la période 
			TE du 
				signal émis.
 Déterminer 
				l’expression de la distance dE parcourue par 
				l’émetteur (E) pendant la période 
			TE du 
				signal émis.
-  
				Expression de la distance 
			dE parcourue 
				par l’émetteur (E) pendant la période 
			TE 
				du signal émis :
-  
				L’émetteur se déplace à la vitesse 
			VE 
				par rapport à l’observateur :
-  
				dE = 
			VE . 
			TE
			
			 À 
				la date TE, quelle est la distance 
			d’ 
				entre E et 
			A ?
 À 
				la date TE, quelle est la distance 
			d’ 
				entre E et 
			A ?
-  
				À la date TE, l’émetteur a parcouru la 
				distance dE. L’émetteur se rapproche de 
			A.
-  
				d’ = 
			d – 
			dE
-  
				d’ = 
			d – 
			VE . 
			TE
			
			 À 
				la date TE, l’émetteur émet de nouveau une 
				onde.
 À 
				la date TE, l’émetteur émet de nouveau une 
				onde. 
			-   À quelle date t2 l’observateur reçoit-il 
				cette onde ?
-  
				Distance à parcourir :
-  
				d’ = 
			d – 
			VE . 
			TE
-  
				Date t2 où l’observateur reçoit cette 
				onde :
-  
				 
			
			 Quelle 
				est la durée TA séparant deux signaux 
				consécutifs captés par l’observateur ? Que représente 
			TA ?
 Quelle 
				est la durée TA séparant deux signaux 
				consécutifs captés par l’observateur ? Que représente 
			TA ?
-  
				Durée TA séparant deux signaux 
				consécutifs captés par l’observateur,
			
-  
				TA = 
			t2 – 
			t1
-  
				
			
-  
				La grandeur TA représente la période de 
				l’onde perçue par l’observateur.
			
			 Exprimer 
				la relation liant fA, 
			fE, 
			V et 
			VE dans cette situation.
 Exprimer 
				la relation liant fA, 
			fE, 
			V et 
			VE dans cette situation.
-  
				Relation liant 
			fA, 
			fE,
				V et 
			VE:
-  
				
			
			
			 Quelle 
				est l’expression littérale de la valeur de la vitesse 
			VE 
				de l’émetteur ?
 Quelle 
				est l’expression littérale de la valeur de la vitesse 
			VE 
				de l’émetteur ?
-  
				Expression littérale de la valeur de la vitesse 
			VE 
				de l’émetteur :
-  
				
			
c)-  
				Détermination par effet Doppler de la vitesse d’un 
				émetteur sonore qui s’éloigne :
			
			 La valeur de la vitesse d’un émetteur 
			E 
				s’éloignant d’un observateur immobile (B) peut être 
				calculée par effet Doppler.
 
				La valeur de la vitesse d’un émetteur 
			E 
				s’éloignant d’un observateur immobile (B) peut être 
				calculée par effet Doppler. 
			-   On se propose de retrouver la 
				relation liant les diverses grandeurs mises en jeu :
-  
				fE est la fréquence du signal produit 
				par l’émetteur ;
-  
				fB est la fréquence du signal reçu par 
				l’observateur ;
-  
				V est la valeur de la vitesse de l’onde ;
-  
				VE est la valeur de la vitesse de 
				l’émetteur par rapport à l’observateur.
-  
				Les valeurs des vitesses sont mesurées dans un 
				référentiel terrestre :
-  
				On se place dans le cas où :
-  
				L’air est supposé immobile par rapport au son.
-  
				La vitesse de déplacement de l’émetteur par rapport au 
				récepteur est faible et inférieure à la vitesse de l’onde dans le 
				milieu de propagation.
-  
				En conséquence, on considère que : 
			VE 
				<< V
-  
				Schéma représentatif de la situation :
			
			 À 
				la date t0 = 0 s, 
			E est à la distance
				d de 
			B et émet une onde.
 À 
				la date t0 = 0 s, 
			E est à la distance
				d de 
			B et émet une onde. 
			-    Exprimer littéralement la 
				date t1 au bout de laquelle le signal est 
				perçu par B.
-  
				Expression de la date 
			t1 :
-  
				L’onde est émise de l’émetteur (E) se déplace à la 
				vitesse V.
			
-  
				La distance parcourue par l’onde est 
			d.
-  
				Date t1 au bout de laquelle le signal 
				est perçu par B :
-  
				
			
			
			 Déterminer 
				l’expression de la distance dE parcourue par 
				l’émetteur (E) pendant la période 
			TE du 
				signal émis.
 Déterminer 
				l’expression de la distance dE parcourue par 
				l’émetteur (E) pendant la période 
			TE du 
				signal émis.
-  
				Expression de la distance 
			dE parcourue 
				par l’émetteur (E) pendant la période 
			TE 
				du signal émis :
-  
				L’émetteur se déplace à la vitesse 
			VE 
				par rapport à l’observateur :
-  
				dE = 
			VE . 
			TE
			
			 À 
				la date TE, quelle est la distance 
			d’ 
				entre E et 
			B ?
 À 
				la date TE, quelle est la distance 
			d’ 
				entre E et 
			B ?
-  
				À la date TE, l’émetteur a parcouru la 
				distance dE. L’émetteur s’éloigne de B.
-  
				d’ = 
			d + 
			dE
-  
				d’ = 
			d + 
			VE . 
			TE
			
			 À 
				la date TE, l’émetteur émet de nouveau une 
				onde. À quelle date t2 l’observateur reçoit-il 
				cette onde ?
 À 
				la date TE, l’émetteur émet de nouveau une 
				onde. À quelle date t2 l’observateur reçoit-il 
				cette onde ?
-  
				Distance à parcourir :
-  
				d’ = 
			d + 
			VE . 
			TE
-  
				Date t2 où l’observateur reçoit cette 
				onde :
-  
				 
			
			 Quelle 
				est la durée TB séparant deux signaux 
				consécutifs captés par l’observateur ? Que représente 
			TB ?
 Quelle 
				est la durée TB séparant deux signaux 
				consécutifs captés par l’observateur ? Que représente 
			TB ?
-  
				Durée TB séparant deux signaux 
				consécutifs captés par l’observateur.
-  
				TB = 
			t2 – 
			t1
-  
				
			
-  
				La grandeur TB représente la période de 
				l’onde captée l’observateur.
			
			 Exprimer 
				la relation liant fB, 
			fE, 
			V et 
			VE dans cette situation.
 Exprimer 
				la relation liant fB, 
			fE, 
			V et 
			VE dans cette situation.
-  
				Relation liant 
			fB, 
			fE,
				V et 
			VE:
-  
				
			
			
			 Quelle 
				est l’expression littérale de la valeur de la vitesse 
			VE 
				de l’émetteur ?
 Quelle 
				est l’expression littérale de la valeur de la vitesse 
			VE 
				de l’émetteur ?
-  
				Expression littérale de la valeur de la vitesse 
			VE 
				de l’émetteur :
-  
				
			
d)- 
				Une autre approche de l’effet Doppler (avec la longueur 
				d'onde):
►Émetteur sonore qui s’approche du récepteur :
-  
				La valeur de la vitesse d’un émetteur 
			E 
				s’approchant d’un observateur immobile (A) peut être 
				calculée par effet Doppler
-  
				fE est la fréquence du signal produit 
				par l’émetteur ; 
			
-  
				λE est la longueur d’onde du son émis 
				par l’émetteur
-  
				fA est la fréquence du signal reçu 
				(perçu) par l’observateur ;
-  
				λA est la longueur d’onde du son reçu 
				(perçu) par l’observateur ;
-  
				V est la valeur de la vitesse de l’onde ;
-  
				VE est la valeur de la vitesse de 
				l’émetteur par rapport à l’observateur.
-  
				Les valeurs des vitesses sont mesurées dans un 
				référentiel terrestre :
-  
				On se place dans le cas où :
-  
				L’air est supposé immobile par rapport au son.
-  
				La vitesse de déplacement de l’émetteur par rapport au 
				récepteur est faible et inférieure à la vitesse de l’onde dans le 
				milieu de propagation.
-  
				En conséquence, on considère que : 
			VE 
				<< V
-  
				Schéma représentatif de la situation :
-  
				Au temps t = 0 s, l’émetteur émet le bip 1de 
				fréquence fE 
			
			
-  
				Au temps t = 
			TE, l’émetteur émet 
				le bip 2 de fréquence fE.
-  
				Pendant la durée TE, l’émetteur s’est 
				rapproché de la distance d :
-  
				d = 
			VE.TE
-  
				Les deux bips sont séparés de la distance 
			d’ :
-  
				d’ = 
			V.TE – 
			VE.TE
-  
				La distance d’ représente la longueur d’onde du 
				signal perçu par l’observateur
-  
				 λA = 
			V.TE –
				VE.TE
-  
				D’autre part :
-  
				λE = 
			V.TE
-  
				On tire : 
			
-  
				λA = 
			λE – 
			VE.TE
-  
				L’onde perçue par le récepteur a une longueur d’onde 
				inférieure (une période inférieure ou une fréquence plus grande) 
				que celle envoyée par l’émetteur.
-  
				Expression de la vitesse 
			VE dans ce cas 
				:
-  
				
			
►Émetteur sonore qui s’éloigne du récepteur :
-  
				La valeur de la vitesse d’un émetteur 
			E 
				s’éloignant d’un observateur immobile (B) peut être 
				calculée par effet Doppler.
-  
				fE est la fréquence du signal produit 
				par l’émetteur ;
-  
				fB est la fréquence du signal reçu par 
				l’observateur ;
-  
				V est la valeur de la vitesse de l’onde ;
-  
				VE est la valeur de la vitesse de 
				l’émetteur par rapport à l’observateur.
-  
				Les valeurs des vitesses sont mesurées dans un 
				référentiel terrestre :
-  
				On se place dans le cas où :
-  
				L’air est supposé immobile par rapport au son.
-  
				La vitesse de déplacement de l’émetteur par rapport au 
				récepteur est faible et inférieure à la vitesse de l’onde dans le 
				milieu de propagation.
-  
				En conséquence, on considère que : 
			VE 
				<< V
-  
				Schéma représentatif de la situation :
-  
				Au temps t = 0 s, l’émetteur émet le bip 1de 
				fréquence fE 
			
			
-  
				Au temps t = 
			TE, l’émetteur émet 
				le bip 2 de fréquence fE.
-  
				Pendant la durée TE, l’émetteur s’est 
				éloigné de la distance d :
-  
				d = 
			VE.TE
-  
				Les deux bips sont séparés de la distance d’ :
-  
				d’ = 
			V.TE + 
			VE.TE
-  
				La distance d’ représente la longueur d’onde du 
				signal perçu par l’observateur
-  
				 λB = 
			V.TE +
				VE.TE
-  
				D’autre part :
-  
				λE = 
			V.TE
-  
				On tire : 
			
-  
				λB = 
			λE + 
			VE.TE
-  
				L’onde perçue par le récepteur a une longueur d’onde plus 
				grande (une période supérieure ou une fréquence plus petite) que 
				celle envoyée par l’émetteur.
-  
				Expression de la vitesse 
			VE dans ce cas 
				:
-  
				
			
			
3)- L’effet Doppler-Fizeau en 
				astronomie.
			
			 Le spectre de la lumière émise par une étoile 
				comporte des raies d’absorption caractéristiques des éléments 
				présents dans l’atmosphère qui l’entoure.
 
				Le spectre de la lumière émise par une étoile 
				comporte des raies d’absorption caractéristiques des éléments 
				présents dans l’atmosphère qui l’entoure.
			
			 En appliquant les conséquences de l’effet C. 
				Doppler à la lumière, H.  Fizeau (1819-1896) a postulé en 
				1848 que :
 
				En appliquant les conséquences de l’effet C. 
				Doppler à la lumière, H.  Fizeau (1819-1896) a postulé en 
				1848 que :
-  
				Si une étoile s’éloigne ou s’approche de la Terre, on 
				doit observer un décalage de ses raies d’absorption.
-  
				La mesure de ce décalage permettrait de calculer la 
				vitesse radiale de l’étoile.
			
			 Les télescopes modernes et les outils 
				informatiques permettent aujourd’hui de calculer les vitesses 
				radiales des étoiles en analysant de très nombreuses raies.
 
				Les télescopes modernes et les outils 
				informatiques permettent aujourd’hui de calculer les vitesses 
				radiales des étoiles en analysant de très nombreuses raies.
-  
				L’effet Doppler-Fizeau permet de calculer la valeur de la 
				vitesse radiale d’une étoile en comparant les longueurs d’onde 
				de son spectre d’absorption à celles d’un spectre de référence.
-  
				Lorsque l’étoile s’éloigne de la Terre, on observe un 
				décalage vers les grandes longueurs d’onde c’est-à-dire vers le 
				rouge pour les raies du visible (redshift).
-  
				Lorsque l’étoile se rapproche de la Terre, on observe un 
				décalage vers les petites longueurs d’onde c’est-à-dire vers le 
				bleu pour les raies du visible (blueshift).
-  
				Remarque : la vitesse radiale d’une étoile est la vitesse 
				à laquelle elle s’éloigne ou s’approche de la Terre.
2)- Exercices :
| Exercices : énoncé avec correction a)- Exercice 6 page 76 : 
	  Connaître le phénomène de diffraction. b)- Exercice 9 page 76 : 
	  Connaître le phénomène d’interférences. c)- Exercice 13 Page 76 : 
	  Comparer des fréquences. d)- Exercice 15 page 77 : 
	  Largeur d’une tache centrale. e)- Exercice 17 page 77 : 
	  Mailles du voilage.  
					 f)- Exercice 24 Page 80 : 
	  Calcul d’une longueur d’onde. | 
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