| Chap. N° 03 | Propriétés des ondes. Exercices. | 
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				I-
				Exercice 6 page 76 : Connaître le phénomène de 
				diffraction.
| On intercale un trou circulaire de petite dimension devant un faisceau laser. Décrire la figure obtenue sur un écran placé à 
							quelques mètres de l’ouverture. | 
| Dans le cas d’une ouverture circulaire, la figure de diffraction obtenue a la symétrie de révolution : Elle se compose d’anneaux alternativement sombres et brillants, entourant  
							une  tache  centrale  beaucoup  
							plus  brillante,  qui porte le nom de 
							tache d’Airy.   Les limites angulaires de la 
							tache d’Airy sont données par :   
 - 
							
							λ0 : longueur d’onde 
							dans le vide de la radiation lumineuse  - 
							d : diamètre du trou. La luminosité 
							des anneaux brillants diminue au fur et à mesure que 
							l’on s’éloigne de la tache centrale. Ce phénomène se produit lorsque 
							l’ouverture par laquelle la lumière passe est de 
							petite taille et du même ordre de grandeur que la 
							longueur d’onde de la radiation.  L’ouverture a diffracté la 
							lumière du laser. Exemple avec un laser vert : 
  
							 | 
				II-
				Exercice 9 page 76 : Connaître le phénomène 
				d’interférences.
| Un système de deux fentes 
							d’Young est éclairé à l’aide d’une source 
							monochromatique. Décrire la figure obtenue sur 
							un écran placé à quelques mètres de la fente. | 
| Figure de diffraction obtenue 
							avec une fente fine : 
							 
							 Figure obtenue avec deux fentes 
							fines (Fentes d’Young) : 
  
							 
  
							 Au phénomène de diffraction se 
							superpose le phénomène d’interférences. Sur la tache centrale de diffraction, on observe des franges d’interférences. Ces franges sont alternativement sombres et brillantes. Elles sont parallèles entre elles et 
							parallèles aux deux fentes d’Young. 
							 | 
				
				III- Exercice 13 Page 76 : Comparer des fréquences.
| Une étoile émet 
							une onde électromagnétique de fréquence
							fE 
							et de célérité
							c.   Elle s’éloigne d’un observateur B avec une vitesse VE. La fréquence 
							fB de l’onde perçue vérifie la 
							relation : 
							
							-  1)- Vérifier l’homogénéité de cette expression par une analyse dimensionnelle. 2)- 
							Comparer les fréquences fE et 
							 fB. | 
| 1)- 
							Analyse dimensionnelle de l’expression :
   
 
							
							- 
							L’expression est bien 
							homogène à l’inverse d’une durée, c’est bien une 
							fréquence. 2)- 
							Comparaison des fréquences fE et
							
							fB. 
							
							- 
							De l’expression
							
							
							 
							
							- 
							Car :
							 
							 | 
				IV-
				Exercice 15 page 77 : Largeur d’une tache centrale.
| On réalise une 
							figure de diffraction en éclairant une fente de 
							largeur a 
							à l’aide d’un faisceau laser de longueur d’onde
							λ dans 
							le vide. Cette figure est obtenue sur un 
							écran situé à une distance
							D de la 
							fente. 1)- 
							Recopier et compléter le schéma ci-dessus en faisant 
							apparaître le demi-angle de diffraction 
							θ, la distance D et la largeur 
							ℓ de la tache centrale. 2)- 
							Quelle relation existe-t-il entre 
							θ, 
							λ et a ? 3)- 
							Autre relation : a)- L’angle θ étant petit et exprimé en radian, on a la relation θ ≈ tan θ. Établir la relation entre la largeur 
							de la tache centrale ℓ, l’angle θ et 
							la distance D. b)- 
							En déduire une relation 
							entre ℓ, λ, D et a. 4)- 
							Comment évolue la largeur de la tache centrale si : a)- 
							La largeur de la fente 
							double ? Est divisée par deux ? b)- 
							La distance entre la fente 
							et l’écran double ? 
							
							- Justifier les 
							réponses. | 
| 1)- 
							Schéma complété : 2)- Relation entre θ, λ eta. 
							
							- On peut rappeler les 
							unités : θ (rad),
							 λ 
							(m)et a (m). 
							
							- D’autre part, lorsque 
							la largeur de la fente diminue, la largeur de la 
							tache centrale augmente. 
							
							- 
							 3)- 
							Autre relation : a)- 
							Relation entre la largeur de 
							la tache centrale ℓ, l’angle θ et la 
							distance  D : 
							
							- 
							 b)- 
							Relation entre ℓ, 
							λ, D et  a : 
							
							- 
							En combinant (1) et 
							(2), on tire : 
							
							- 
							 4)- 
							Évolution de la largeur de la tache centrale : a)- 
							La largeur de la fente 
							double   
							
							- En conséquence   
							
							- 
							 
							
							- Si la largeur de la 
							fente double, la largeur de la tache centrale est 
							divisée par deux. 
							
							- La largeur de la 
							fente est divisée par deux : 
							
							- 
							 
							
							- Si la largeur de la 
							fente est divisée par deux, la largeur de la tache 
							centrale est multipliée par deux. b)- 
							La distance entre la fente 
							et l’écran double : 
							
							- 
							 
							
							- Si la distance entre 
							la fente et l’écran double, la largeur de la tache 
							centrale est multipliée par deux 
							 | 
				V-
				Exercice 17 page 77 : Mailles du voilage.
| Rémi souhaite déterminer la dimension d’un voilage. Pour 
							cela, il réalise le montage suivant : Figure obtenue : 
							
							 Le laser émet une lumière de longueur d’onde dans le vide λ = 633 nm. Il est placé à une distance d = 20,0 cm du voilage. 
							La 
							distance entre le voilage et l’écran vaut D = 
							(2,00 ± 0,01) m. 
							Rémi 
							observe que la tache centrale obtenue sur l’écran 
							est composée de points lumineux équidistants séparés 
							par des zones sombres. La 
							distance séparant deux points consécutifs est : 
							i  = (0,45 ± 0,01) cm 1)- Le voilage se comporte comme un réseau à deux dimensions comportant un grand nombre de trous. Quel est le phénomène responsable de l’observation de points lumineux équidistants sur l’écran ? 2)- Comment appelle-t-on la distance i 
							séparant deux points lumineux consécutifs sur 
							l’écran ? 3)- En notant a la distance séparant deux 
							trous consécutifs du voilage, on a :   - 
							 - Calculer la valeur de a et son 
							incertitude. - Pour le calcul de l’incertitude on 
							prendra :  - On suppose la longueur d’onde du laser 
							connue avec exactitude. - Le résultat sera donné sous la forme
							a ± U (a). 
							 | 
| 1)- Phénomène observé : - Au phénomène de diffraction se 
							superpose le phénomène d’interférences. - Phénomène de diffraction provoqué par 
							le fait que les trous sont de petites dimensions. - Phénomène d’interférences car les 
							trous forment autant de sources lumineuses cohérentes, synchrones qui interfèrent. 2)- Nom de la distance i séparant deux 
							points lumineux consécutifs sur l’écran : - 
							Lors d’interférences lumineuses, 
							l’interfrange, notée i, est la distance 
							séparant deux franges brillantes consécutives ou 
							deux franges sombres consécutives. 3)- Valeur de a et son incertitude : - 
							 - Incertitude sur la valeur de a : - 
							 - En conséquence : a = (281 ± 
							6,4) μm 
							 | 
				VI-
				Exercice 21 page 79 : Contrôle de vitesse.
| Le cinémomètre 
							MESTA 208® est utilisé afin de contrôler par effet 
							Doppler la valeur de la vitesse instantanée des 
							véhicules automobiles. Un élève cherche à modéliser le principe de la mesure. Il dispose d’un émetteur et 
							d’un récepteur d’ondes ultrasonores, ainsi que d’un 
							véhicule jouet pouvant se déplacer à vitesse 
							constante.  La situation est représentée 
							sur le document ci-dessous. Le cinémomètre MESTA 208® mesure la vitesse instantanée des véhicules automobiles. Il 
							fonctionne par application de l’effet Doppler dans 
							le domaine des ondes électromagnétiques 
							(micro-ondes). 1)- Approche expérimentale : a)- 
							Quelle est la différence entre le principe de 
							fonctionnement du cinémomètre et l’expérience 
							historique de Buys-Ballot réalisée en 1845 (voir 
							exercice 26 page 81) ? b)- 
							Quelle propriété des ondes vue en Seconde 
							cette expérience utilise-t-elle ? c)- 
							Déterminer, à partir du schéma, si la mesure 
							de la vitesse de la vitesse est faite lorsque le 
							véhicule s’approche ou s’éloigne du cinémomètre ? d)- On note fE la fréquence de l’onde émise et fR celle de l’onde reçue par le récepteur. Lors d’un tel mouvement, 
							fE est-elle supérieure ou inférieure 
							à fR ? 2)- On réalise l’acquisition informatisée des 
							signaux émis et reçus. Le logiciel permet de repérer 
							les fréquences de chacun des signaux. - 
							Déterminer fE et 
							fR. 3)- La célérité des ondes ultrasonores VS est égale à 340 m / s. On propose trois relations permettant de calculer la valeur de la vitesse V 
							du véhicule, mesurée par rapport au sol et telle que
							V << VS. a)- 
							Déterminer la relation correcte à partir 
							d’une analyse dimensionnelle et de la situation 
							illustrée par le document. 
 b)- 
							D’où vient le nombre 2 dans l’expression de 
							la vitesse ? On pourra s’aider d’un schéma. c)- 
							Calculer la valeur de la vitesse V du 
							véhicule. 4)- Le déplacement du véhicule a été filmé, pour 
							obtenir puis représenter sa position x en 
							fonction du temps. a)- 
							Déterminer graphiquement la vitesse Vvidéo, 
							du véhicule, obtenue à partir de la vidéo du 
							mouvement. b)- 
							Conclure en comparant les valeurs de V 
							et Vvidéo. | 
| 1)- Approche expérimentale : a)- 
							Différences entre les expériences : - 
							Dans le cas du cinémomètre, un 
							émetteur fixe émet un signal et ce signal se 
							réfléchit sur un véhicule qui se rapproche à la 
							vitesse V du récepteur qui est fixe.   - 
							Dans le cas de l’expérience de 
							Buys-Ballot, l’émetteur est situé sur le véhicule 
							qui se rapproche du récepteur à la vitesse V. b)- 
							La propriété des ondes mise en évidence : on 
							met ici en évidence la réflexion des ondes. c)- 
							La mesure de la vitesse est faite lorsque le 
							véhicule se rapproche du cinémomètre. d)- 
							fE est-elle supérieure ou 
							inférieure à fR : - 
							L’émetteur émet un signal de fréquence
							fE qui se déplace à la célérité 
							c vers le 
							véhicule qui se rapproche à la vitesse
							
							V. - 
							En conséquence, la fréquence du signal 
							reçu fR est supérieure à celle du 
							signal émis fE. ► 
							Une méthode de résolution : - 
							On note :   - 
							fE : fréquence du 
							signal produit par l’émetteur ; - 
							fR : fréquence du 
							signal reçu par le récepteur ; - 
							c : célérité de l’onde ; - 
							VE : vitesse du 
							véhicule dans le référentiel lié au cinémomètre. - 
							Émission du premier Bip : - 
							Distance parcourue par le véhicule 
							lorsque l’onde l’atteint :  
							d - 
							Distance parcourue par l’onde : - 
							Aller :  
							d  - 
							Retour :  
							d - 
							Pour parcourir la distance aller d, 
							l’onde a mis la durée t1–
							t0. - 
							 - 
							Durée pour parcourir le retour : 
							  - 
							 - 
							Date d’arrivée : 
							  - 
							 - 
							Émission du second bip : - 
							Le second Bip est émis au temps TE. - 
							Distance parcourue par la voiture 
							pendant la durée TE :   - 
							d’ = VE . 
							TE - 
							Temps mis par l’onde pour arriver sur 
							le véhicule : - 
							 - 
							Date à laquelle se produit la 
							réflexion :   - 
							
							 - 
							Durée du parcours retour : - 
							 - 
							Date à laquelle le second bip arrive 
							au niveau du récepteur :   - 
							 - 
							Que représente la durée t’2 
							– t2 ? - 
							Cette durée représente la période TR 
							du signal reçu par le cinémomètre.   - 
							 - 
							Expression de la fréquence fR 
							: - 
							 - 
							De la relation (1), on peut déduire 
							que TR < TE car  - 
							En conséquence : fR
							> fE. 2)- Détermination de fE et 
							fR : - 
							Comme fR
							> fE : - 
							
							fE
							
							
							= 40,000 kHz 
							et 
							fR
							
							
							= 40,280 kHz
							 3)- Étude avec les ondes ultrasonores : a)- 
							Relation correcte : 
							  
 b)- 
							Le nombre 2 dans l’expression de la vitesse : - 
							 - L’apparition du nombre 2 dans cette expression provient du fait que l’onde analysée est 
							obtenue par réflexion. L’onde fait un aller-retour 
							pour arriver au récepteur. c)- 
							Valeur de la vitesse V du véhicule : - 
							L’expression (2) appliquée aux ondes 
							ultrasonores donne : - 
							 - 
							De l’expression (2’), on tire : - 
							 - 
							Application numérique : - 
							 4)- Étude graphique de la vitesse : a)- 
							Détermination graphique de la vitesse : - 
							Le graphique représente des variations 
							de la position x en fonction du temps. - 
							Les points sont sensiblement alignés 
							et la droite moyenne est du type x = a 
							. t + x0 - 
							Le coefficient directeur a de 
							la droite moyenne tracée représente la vitesse VVidéo 
							du véhicule. - 
							Valeur de la vitesse : - 
							 b)- 
							Comparaison et conclusion : - 
							VE ≈ 1,18 m / s et
							VVidéo ≈ 1,07 m / s - 
							On peut calculer l’erreur relative 
							entre ces deux valeurs : - 
							 - 
							Le résultat est médiocre. Cela est 
							certainement lié à l’exploitation du graphique qui 
							n'est pas très précise. 
							 | 
				
				VII- Exercice 23 page 80 : Différence de marche.
| On réalise le 
							montage suivant dans lequel S est une source de 
							lumière monochromatique de longueur d’onde dans le 
							vide λ = 488 nm. 
							 Cette source éclaire deux 
							fentes étroites S1 et S2, 
							séparées par une distance b = 0,20 mm.  On a SS1 = 
							SS2. Schéma : 
							 On observe la 
							figure obtenue sur un écran situé à la distance D 
							= 1,00 m du plan de ces fentes. On considère sur l’écran l’axe (Ox), O se trouve sur la médiatrice de [S1S2]. Pour un 
							point P de cet axe d’abscisse xP, 
							la différence de marche entre les deux ondes 
							provenant de S1 et S s’écrit : 
 1)- Étude au point O : a)- 
							Quelle est la différence de marche en O ? b)- 
							Qu’observe-t-on sur l’écran en ce point ? 2)- Étude au point P : a)- 
							Calculer la différence de marche au point 
							P d’abscisse xP = 6,1 mm. b)- 
							Qu’observe-t-on sur l’écran en ce point ? 
							 | 
| 1)- Étude au point O : a)- 
							Différence de marche en O : - 
							Pour des raisons de symétrie, la 
							différence de marche au point O est nulle. b)- 
							On observe une frange brillante sur l’écran. 2)- Étude au point P : a)- 
							Différence de marche au point P 
							d’abscisse xP = 6,1 mm - 
							 b)- 
							Observation sur l’écran : - 
							Si δ 
							= k . λ,   - 
							Les deux ondes arrivent au point P 
							en phase et elles ajoutent leurs effets.   - 
							On dit que l’interférence est 
							constructive.   - 
							On obtient une frange brillante. - 
							Si,   - 
							Les deux ondes arrivent au point M 
							en opposition de phase et elles annulent leurs 
							effets.   - 
							On dit que l’interférence est 
							destructive.   - 
							On obtient une frange sombre. - 
							Dans le cas présent : - 
							 - 
							Comme
							
							 ► 
							Pour retrouver l’expression de la 
							différence de marche au point P : - 
							Si les deux rayons lumineux se 
							déplacent dans le même milieu d’indice n, il 
							existe une différence de chemin optique entre les 
							deux rayons.   - 
							On parle de différence de marche 
							 δ. - 
							Il existe entre les deux ondes 
							lumineuses arrivant en P une différence de 
							marche δ. - 
							δ = |(SS2 +
							S2P) – (SS1 
							+ S1P)| - 
							Comme SS2 =
							SS1 - 
							δ = |S2P
							– S1P)| - 
							On va utiliser : - 
							Le fait que D >> b et 
							D >>  x - 
							L’approximation suivante : (1 + ε)n 
							≈ 1 + n ε avec ε << 1. - 
							La relation : A2 –
							B2 = (A + B) (A 
							–B) - 
							Le théorème de Pythagore. - 
							Expression de S2P 
							: - 
							 - 
							 - 
							Expression de S1P
							: de la même façon - 
							 - 
							Étude de l’expression :  - 
							La grandeur x << D et la 
							grandeur b <<  
							D - 
							En conséquence :  - 
							On peut utiliser l’approximation 
							suivante : (1 + ε)n ≈ 1 + n ε 
							avec ε << 1. - 
							 - 
							De la même façon : - 
							 - 
							Expression de la différence de 
							marche : - 
							δ = |S2P
							– S1P)| = S2P
							– S1P dans le cas de 
							la figure étudiée. - 
							 - 
							On va utiliser le fait que : 
							A2 –
							B2 
							= (A + 
							B) (A 
							–B) - 
							 - 
							Il y a interférences constructives si
							δ = k . λ (un nombre entier de 
							longueurs d’onde) - 
							Il y a interférences destructives si   | 
				
				VIII- Exercice 24 Page 80 : Calcul d’une longueur d’onde.
				
| Deux fentes étroites et parallèles, séparées par une distance b = 0,20 mm, sont éclairées par un faisceau de lumière monochromatique de longueur d’onde λ dans le vide. On observe 
							sur l’écran, placé à une distance D 
							= 1,00 m du plan de ces fentes, une alternance de 
							franges brillantes et sombres. La distance séparant les 
							milieux de deux franges brillantes (ou sombres) 
							consécutives 
							est appelée « interfrange » et notée
							i. 1)- Afin de déterminer l’interfrange, on mesure la distance d comme indiqué sur le schéma ci-dessous. -  On obtient d = 30 mm. Calculer 
							l’interfrange i. - 
							Schéma :  2)- Étude de la relation : a)- Par analyse dimensionnelle, déterminer l’expression qui permet de calculer l’interfrange 
							i parmi les propositions suivantes : 
 b)- 
							En déduire la longueur d’onde λ 
							de la lumière. 3)- Pourquoi a-t-on mesuré plusieurs 
							interfranges ? 
							 | 
| 1)- Valeur de l’interfrange i : - 
							d = 10 i  
							=>  i = 3,0 mm 2)- Étude de la relation : a)- 
							Analyse dimensionnelle : 
 
 - 
							La bonne relation est la relation 
							(B) : b)- 
							Longueur d’onde λ de la lumière : - 
							 3)- On mesure plusieurs interfranges pour avoir 
							une plus grande précision sur la mesure. - Comme l’interfrange i est très petit, le fait de mesurer d = 10 i, - On 
							réduit ainsi l’erreur systématique sur la mesure.
							  - L’erreur commise est la même si on mesure i ou 10 i -  (on utilise le même 
							instrument de mesure). 
							 | 
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