| 
		 | Diffraction et interférences 
		Exercices 2024 | 
| 
 | 
|  | 
| Exercice : Mesurer 
		  une fissure. | 
| Exercice : 
		  Bulle de savon. | 
| Exercice : 
		  Indice optique . | 
| Exercice : Observation d'une 
		  exoplanète : critère de Rayleigh 
		  . | 
Une plaque fissurée est placée sur le trajet du faisceau émis 
par un laser de longueur d'onde λ 
= 632,9 nm.
On souhaite mesurer la largeur a
de la fissure.
On enregistre l'intensité lumineuse reçue le long d'un axe 
horizontal sur un écran perpendiculaire au faisceau du laser, placé à une 
distance D = 320 cm après la 
fissure.
On obtient la courbe présentée ci-dessous qui permet de 
déterminer la largeur L de la 
tache de diffraction.

a)- 
Décrire la figure observée sur l'écran et 
identifier le phénomène correspondant.
b)- 
Retenir l'une des relations suivantes 
grâce à une analyse dimensionnelle.
-  ;
 ;  ;
 ;  
c)- 
Déterminer la largeur 
a 
de la fissure.
a)- 
Le phénomène correspondant.
- 
On met ici en évidence le 
phénomène de diffraction :


- 
La figure de diffraction est 
constituée d’une tache centrale et de taches secondaires situées symétriquement 
par rapport à la tache centrale.
- 
La tache centrale est très 
lumineuse et deux fois plus large que les autres taches.  
- 
La luminosité diminue très vite 
lorsqu’on s’éloigne de la tache centrale de diffraction.
- 
La fissure a diffracté la lumière 
dans une direction perpendiculaire à celle de la fissure.  
- 
La diffraction est d’autant plus 
marquée que la largeur 
a de la fissure est petite.
b)- 
Analyse dimensionnelle des relations 
suivantes :  
- 
  ;
 ;  ; 
 (3) L 
= 2 λ 
. D 
. a
 ; 
 (3) L 
= 2 λ 
. D 
. a
► 
Une solution :  
- 
Les notations :
- 
La grandeur physique 
P (puissance) est représentée 
par l’écriture suivante : [P]
- 
Son unité est représentée par 
l’écriture suivante : (W)
- 
On écrit : [P] = (W)
- 
Traduction :
- 
L’unité de puissance P est le watt W
- 
Pour la grandeur physique 
L : [L] 
= (m)
- 
La largeur de la tache L s’exprime 
en mètre m.
- 
La largeur de la fissure : [a] 
= (m)
- 
La longueur d’onde : [λ] = (m)
- 
Étude de la notation (1) :  
- 
 
 
- 
D’après l’analyse dimensionnelle, 
on peut affirmer que :
- 
 La relation (2) est fausse.
La relation (2) est fausse.
- 
On peut rejeter cette relation.
- 
Étude de la notation (2) :  
- 
 
 
- 
Cette relation peut convenir.
 
- 
Les unités sont cohérentes. On 
retient cette relation.
- 
Étude de la relation (3) : (3)
L 
= 2 λ . 
D 
. a
- 
[L] 
= (m)
- 
[2 
λ . 
D . a] = [λ] 
. [D]. 
[a] = (m) × (m) × (m) = (m3)
- 
D’après l’analyse dimensionnelle, 
on peut affirmer que :
- 
(3) 
L 
≠ 2 λ 
. D . 
a  
La relation (3) est fausse.
- 
On peut rejeter cette relation.
► 
Remarque : du point de vue 
dimensionnel, la relation suivante 
 peut convenir.
 peut convenir.  
- 
L’analyse dimensionnelle est une 
analyse nécessaire mais pas suffisante.
- 
Elle ne permet pas d’éliminer la 
relation (4).
- 
On peut l’éliminer en sachant que 
la largeur de la tache centrale 
L augmente lorsque la largeur 
a 
de la fissure diminue.  
c)- 
Déterminer la largeur 
a 
de la fissure.
► 
Figure de diffraction 
d’ondes lumineuse monochromatique :  
Écart 
angulaire θ :
- 
L’écart angulaire θ est 
l’angle sous lequel est vue la moitié de la tache centrale depuis l’objet 
diffractant.  
- 
C’est le demi-diamètre 
angulaire de la tache centrale.
- 
Schéma :  

- 
F : 
milieu de la fente.  
- 
O : 
milieu de la tache centrale.  
- 
M : 
milieu de la première extinction.  
- 
L : 
largeur de la tache centrale de diffraction.
- 
D 
>> L : 
D est très 
grand devant OM.
| Lorsqu’un faisceau parallèle de lumière de longueur d’onde λ traverse une fente de largeur a, 
		 l’écart angulaire θ, 
entre le centre de la tache centrale et la première extinction est donné par la 
relation suivante :   | 
| 
		 | |
| θ | 
		
		Écart angulaire en radian (rad) | 
| 
		
		λ | 
		
		Longueur d’onde en mètre (m) | 
| 
		
		a | 
		
		Largeur de l’ouverture rectangulaire | 
- 
Si le rapport 
 est 
petit, on peut faire l’approximation suivante :
 est 
petit, on peut faire l’approximation suivante :
- 
sin
θ 
≈ θ 
(rad) :
- 
la relation s’écrit 
alors :
| 
		 | |
| θ | 
		
		Écart angulaire en radian (rad) | 
| 
		
		λ | 
		
		Longueur d’onde en mètre (m) | 
| 
		
		a | 
		
		Largeur de l’ouverture rectangulaire | 
- 
Cette relation permet 
de déterminer expérimentalement la longueur d’onde 
λ de la lumière 
d’un faisceau connaissant la largeur de la fente.
- 
Dans le cas ou 
D >> L 
(largeur de la 
tache centrale), on peut 
déterminer la relation donnant la largeur de la tache centrale 
L 
en fonction de la longueur d’onde  λ 
et de la largeur a 
de la fente.  
- 
On fait 
l’approximation des petits angles.
- 
 
 
- 
À partir de la relation (2), on 
détermine la valeur de la largeur 
a 
de la fissure :
- 
 
 
- 
Application numérique :
- 
 
 
En observant une bulle de savon, on voit apparaître des 
irisations (comme les couleurs de l'arc-en-ciel).
Une bulle de savon est constituée d'un mince film d'eau savonneuse 
emprisonnant de l'air.
Quand la lumière traverse ce film, il se produit un phénomène d'interférence 
entre la lumière réfléchie sur la face supérieure du film et celle réfléchie sur 
la face intérieure.

Pour une longueur d'onde dans le vide λ0 et un angle de 
réfraction i2 donnés, la différence de chemin optique entre 
ces 2 ondes notées δ0, dépend de l'épaisseur e et de 
l'indice moyen de réfraction (ou indice optique) n du film d'eau 
savonneuse :
- 
 

DONNÉES :
- 
Indice moyen de réfraction de 
l’eau savonneuse : n = 1,35
- 
Longueur d’onde dans le vide d’une 
radiation rouge : λ0 = 
640 nm
a)- 
Déterminer si les interférences sont constructives ou destructives 
pour une radiation rouge si la valeur de l'épaisseur du film est e = 0,32 
μm et si l'angle de réfraction i2 = 42°.
b)- 
Proposer une épaisseur de film pour que la bulle apparaisse rouge avec 
le même angle de réfraction.
c)- 
Expliquer pourquoi il est possible de voir différentes couleurs sur 
une bulle de savon.
► 
Différence de chemin optique. Un exemple :
- 
Schéma de la 
situation :

- 
Les 
deux ondes lumineuses de longueur d’onde 
λ0 
= 632,8 nm émises par les sources secondaires 
S1 
et S2 
se superposent au point 
P de l’écran.
- 
L’onde 
lumineuse, issue de S1, 
a parcourue la distance S1P.
- 
L’onde 
lumineuse, issue de S2, 
a parcourue la distance S2P.
- 
Les deux ondes ne 
parcourent pas la même distance :
- 
La différence de 
distances :
- 
S2H 
= S2P 
– S1P 
- 
On 
l’appelle aussi la différence de marche :
- 
δ 
= S2H = 
S2P 
– S1P 
► 
Différence de marche 
et différence de chemin optique :
- 
On 
définit le chemin optique 
L comme le produit de l’indice 
n 
de réfraction du milieu de propagation par la distance 
e 
parcourue par le rayon lumineux dans le milieu :
- 
L 
= n 
. e 
- 
Le 
chemin optique pour l’onde lumineuse issue de 
S1 
:
- 
 L1 
= n . 
S1P
- 
Le 
chemin optique pour l’onde lumineuse issue de 
S2 
:
- 
 L2 
= n . 
S2P
- 
La 
différence de chemin optique 
ΔL entre les deux ondes est donnée par 
la relation :
- 
ΔL 
= n 
. δ = 
n 
. S2H = 
n 
. (S2P – 
S1P) 
► 
Interférences 
constructives et destructives :
- 
Interférences constructives :
- 
Si
ΔL 
= k 
. λ0 
avec k 
€ ℤ
- 
Les 
ondes arrivent en phase au point 
P.  
- 
Les interférences sont 
constructives.  
- 
On observe une frange 
brillante.
- 
Interférences destructives :
- 
Si 
 avec
k 
€ ℤ
 avec
k 
€ ℤ
- 
Les 
ondes arrivent en opposition de phase au point 
P.
 
- 
Les interférences sont 
destructives.
- 
On observe une frange 
sombre.
► 
Remarque :
- 
La 
longueur d’onde λ d’une radiation lumineuse 
dépend du milieu de propagation.
- 
Alors 
que la période T et de ce fait la fréquence
f 
ne dépendent pas du milieu de propagation :
- 
Une 
onde de longueur d’onde λ0 
dans le vide a une longueur d’onde 
 dans 
un milieu d’indice n.
 dans 
un milieu d’indice n.
- 
Dans le cas où les 
ondes lumineuses se déplacent dans l’air :
- 
On fait 
intervenir l’indice de réfraction de l’air : 
n 
= 1,00
- 
Dans ce cas, on peut 
écrire :
- 
ΔL 
= n 
. δ = 
n 
. S2H = 
n 
. (S2P – 
S1P) 
- 
ΔL 
= δ 
= S2H 
= (S2P – 
S1P) 
► 
Dans le cas de la bulle de savon :
- 
Schéma simplifié :

- 
Radiation rouge :
λ0 = 640 nm
- 
Épaisseur du film : e = 0,32 μm 
- 
Angle de réfraction : i2 = 42°.
- 
On donne la relation qui permet de calculer la 
différence de chemin optique :
- 

- 
Application numérique :
- 
 
 
- 
Interférences constructives :
- 
Si δ0 
= k .
λ0 avec k €
ℤ
- 
Interférences destructives :
- 
Si 
 
 avec
k €
ℤ
 avec
k €
ℤ 
- 
Il faut calculer la valeur du rapport 
- 
Application numérique : 
- 

-  
- 
On tire la valeur de
k : k = 1 avec
k €
ℤ
- 
Les interférences sont destructives.
b)- 
Épaisseur du film pour que la bulle apparaisse rouge 
avec le même angle de réfraction.
- 
Radiation rouge :
λ0 = 640 nm
- 
Épaisseur du film : e = ? 
- 
Angle de réfraction : i2 = 42°.
- 
On donne la relation qui permet de calculer la 
différence de chemin optique :
- 
 
 
- 
Interférences constructives :
- 
Si δ0 
= k .
λ0 avec k €
ℤ
- 
On prend pour la valeur suivante :
k = 1
- 

- 
 
 
- 
Or : 
- 
 
 
- 
Application numérique :
- 
 
 
► 
Retour sur la relation : 
 
- 
Schéma :

- 
Zoom :

- 
Notations :
- 
Le rayon incident
R0 a comme point d’incidence le point
I1 et son angle 
d’incidence est i1.
- 
Les rayons réfléchis
R1 et R2 : 
ce sont des rayons réfléchis consécutifs.
- 
Ce sont des rayons parallèles. 
- 
Les points 
I2 et H appartiennent 
au même plan d’onde.
- 
Les trajets optiques des rayons
R1 et
R2 sont identiques à partir du plan d’onde contenant les 
points I2 et
H.
- 
L’image se forme à l’infini. L’œil n’a pas besoin 
d’accommoder pour la voir.
- 
Les rayons 
R1 et R2 
proviennent du même rayon R0.
- 
Différence de marche : 
- 
- 
Or : 
- 
Avec aussi pour la réfraction : 
- 
n0 
. sin i1 =
n . sin i2
- 
Étude de la grandeur
h3
- 
i3 = π / 2 
 – 
i1
- 
 
 
- 
Avec : d = 
e . tan (i2)
- 
 
 
- 
Or n0 
. sin i1 =
n . sin i2
- 
Et 
- 

- 
Or sin2
i2 + cos2
i2 = 1 
- 
 
 
- 
La réflexion d’un rayon lumineux provenant d’un 
milieu moins réfringent (ici l’air) sur un milieu plus réfringent (milieu 
d’indice n) introduit un déphasage de
π, soit une différence de marche 
supplémentaire de
 .
.
- 
La différence de marche pour deux rayons 
réfléchis consécutifs :
- 
 
 
c)- 
Différentes couleurs sur une bulle de savon.
  
https://phymain.unisciel.fr/index.html 
(300 expériences commentées et validées)
- 
Explications :  https://phymain.unisciel.fr/irisations-dune-pellicule-deau-savonneuse/index.html

« Un examen de près montre que les bandes colorées, très espacées au milieu 
du cadre, se resserrent au fur et à mesure qu’on se rapproche du bas.
De plus, les couleurs des premières bandes se répètent, avec des degrés de 
saturations divers, puis en changeant de teinte.
Toutes les couleurs du spectre visible sont ainsi présentes dans les 
irisations.
Ces couleurs ne sont pas dues à une décomposition de la lumière, comme dans 
le cas d’un arc-en-ciel.
Elles résultent d’une interférence entre le rayon lumineux qui s’est réfléchi 
sur la pellicule de savon et celui qui en est ressorti après avoir fait un ou 
plusieurs allers et retours à l’intérieur de cette pellicule.
Selon l’angle d’incidence et l’épaisseur de la couche de savon, certaines 
couleurs sont éteintes et d’autres renforcées.
Sous l’effet de la pesanteur, l’eau savonneuse a tendance à s’accumuler vers le bas : l’épaisseur de la pellicule augmente donc, c’est pourquoi les bandes irisées se resserrent vers le bas du cadre. »
III- Exercice : 
Indice optique .
L’expérience des fentes d’Young est réalisée dans l’air.
Les deux fentes distantes de a1-2 = 0,30 mm, situées à une 
distance D = 2,5 m de l’écran, sont éclairées en lumière monochromatique.
Les deux sources S1 et S2 émettent en 
phase.
DOC. Schéma du dispositif

La distance S2M est notée d2 et la 
distance S1M est notée d1.
Dans les conditions de l’expérience, D >> a1-2, D 
>> x.
DONNÉES :  
- 
Indices optiques (ou indices de 
réfraction) de milieux matériels :  
- 
nair
= 1,0 ; neau = 1,3 ;
nverre = 1,5 ;
npolycarbonate = 1,6. 
DOC. 2 Schéma du dispositif avec une lame d’épaisseur e.
Lorsqu’une lame d’épaisseur e = 0,010 mm d’indice ne 
est positionnée devant l’une des fentes, la figure d’interférences se déplace 
alors sur l’écran de 4,0 cm du côté de la lame.
Questions
1. 
En utilisant le théorème de Pythagore dans des triangles rectangles 
convenablement choisis sur le DOC1 ., démontrer que : d22 
– d12 = 2x . a1-2.
2. 
En utilisant la relation précédente, une identité remarquable et 
l’approximation donnée dans le DOC. 1, établir l’expression de la différence de 
chemin optique δ0 en fonction de a1-2, x,
D et nair.
3. 
Donner l’expression de la différence de chemin optique en M en 
présence de la lame d’épaisseur e.
4. 
Exprimer et calculer l’indice optique ne et 
identifier la nature de la lame.
1. 
Relation : d22 – d12 
= 2 x . a1-2.
- 
Choix des triangles rectangles :
 
► 
Le rectangle 1 :
S1H1M
- 
DOC1 :  avec les notations

- 
S1H1
= S1H1 ;
- 

- 
S1M 
= d1
- 
Théorème de Pythagore dans le 
triangle rectangle :
- 
 
 
► 
Le rectangle 2 :
S2H2M
- 
Théorème de Pythagore dans le 
triangle rectangle :
- 
 
 
► 
Détermination de l’expression 
suivante : d22 – d12 =
- 
 
 
- 
On utilise l’identité remarquable 
suivante : a2 –
b2 = (a +
b) . (a – b)
- 

2. 
Expression de la différence de chemin optique δ0 en 
fonction de a1-2, x, D et
nair.
- 
La différence de chemin optique :
- 
δ0
= nair . (d2 – d1)
- 
La relation de départ : d22 
– d12 = 2 x . a1-2.
- 
Identité remarquable :
a2 – b2 
= (a +
b) . (a – 
b)
- 
d22
– d12 = (d2 + d1) 
. (d2 – d1)
- 
Approximation donnée :
D >> a1-2,
D >>
x
- 
Or :  
- 
 
 
- 
De même :
- 
 
 
- 
En conséquence : (d2 
+ d1) ≈ 2 
D
- 
d22
– d12 = (d2 + d1) 
. (d2 – d1)
- 
d22
– d12 ≈ 2 D 
. (d2 – d1)
- 
En enfin :
- 
2 x . a1-2 
≈ 2 D . (d2 – d1)
- 
 
 
- 
On peut donner l’expression de la 
différence de chemin optique :
- 
δ0
= nair . (d2 – d1)
- 

3. 
Expression de la différence de chemin optique en M en présence 
de la lame d’épaisseur e.
- 
Schéma :

- 
Avant, les fentes :
- 
le rayon
K1S1 
parcourt la distance ℓ dans l’air d’indice nair.
- 
le rayon
K2S2 
parcourt la distance ℓ – e dans l’air d’indice nair 
et la distance e dans la lame d’indice ne.
- 
La différence de chemin optique 
pour cette partie du trajet :
- 
δ’0
= nair . (ℓ – e) 
+ ne .e – nair .ℓ
- 
δ’0
= e . (ne – nair)
- 
Après les fentes, la différence de 
chemin optique n’a pas changé :
- 
 
 
- 
La différence totale de chemin 
optique est donnée par la relation suivante :  
- 
 
 
4. 
Expression et calcul l’indice optique ne et la 
nature de la lame.
- 
Lorsqu’une lame d’épaisseur e 
= 0,010 mm d’indice ne est positionnée devant la des fente du 
bas, la figure d’interférences se déplace alors sur l’écran de 4,0 cm vers le 
bas.

- 
La frange brillante est 
positionnée au point O lorsque la différence de chemin optique est nulle.
- 
Lorsque l’on place la lame 
d’épaisseur e , la frange brillante se trouve au point O’ situé 
4,0 cm plus bas.
- 
x
(O’) = – 4,0 cm
- 

- 
Il faut isoler la grandeur ne.
- 
 
 
- 
Application numérique :
- 
 
 
DONNÉES :  
- 
Indices optiques (ou indices de 
réfraction) de milieux matériels :  
- 
nair
= 1,0 ; neau = 1,3 ;
nverre 
= 1,5 ; npolycarbonate 
= 1,6. 
- 
La lame est en verre.