| 
 | 
		Forcer l'évolution d'un système chimique | 
| 
 | 
|  | 
| 
		II-  Le 
fonctionnement d’un électrolyseur : étude quantitative. 
		1)- Quantité d’électricité mise en jeu lors d’un 
électrolyse. | 
| 
		
		III-  
		
Conversion et stockage de l’énergie. | 
| 1)-électrolyse d’une solution aqueuse de nitrate de plomb II. 
		QCM r 
		 Forcer l’évolution d’un 
		système chimique La transformation forcée Le fonctionnement d’un 
		électrolyseur La conversion et le stockage de l’énergie | 
| Préparation à l’ECE : Cuve à électrodéposition 1)- Exercice 05 
		page 182 :Identifier la réaction électrochimique. 2)- Exercice 07 
		page 183 : Déterminer une quantité de matière. 3)- Exercice 09 
		page 183 : Déterminer un type de conversion. 4)- Exercice 12 
		page 184 : Des couverts en métal argenté. 5)- Exercice 15 page 185 : Nickelage d’une 
		pièce métallique. 6)- DS N° 01 (15 min): Obtention de lithium et de dichlore par électrolyse : Exercice 17 page 186. 7)- DS N° 02 (30 min) : Obtention du cuivre par électrolyse : Exercice 18 page 187. 
 | 
| 
		QCM r 
		 Forcer l’évolution d’un système 
			chimique La transformation forcée Le fonctionnement d’un 
			électrolyseur | 
1)- Évolution spontanée d’un système.
a)- 
Expérience 1 : Réaction entre 
une solution aqueuse de dibrome et du cuivre métal.
 Sous la hotte, on 
verse dans deux tubes à essais A 
et B, 
environ 4 mL d’une solution aqueuse de dibrome.
Sous la hotte, on 
verse dans deux tubes à essais A 
et B, 
environ 4 mL d’une solution aqueuse de dibrome.
- 
Dans le tube 
A, 
on ajoute de la tournure de cuivre métallique et on laisse réagir.  
- 
Puis on ajoute 3 mL de 
cyclohexane et on agite.
- 
Dans le tube 
B, 
on ajoute 3 mL de cyclohexane et on agite.
  
  Observations :
 Observations :
 
- 
Tube 
A :  
- 
Il se produit une 
réaction entre le dibrome et le cuivre.  
- 
La solution 
initialement orange s’éclaircit, puis devient de couleur bleu foncé et la 
quantité de cuivre métallique diminue. 

- 
On remarque que la 
concentration en dibrome diminue au cours de la réaction et qu’il se forme des 
ions cuivre 
II.
 

- 
La solution de 
cyclohexane se colore faiblement. Le dibrome pratiquement disparu en fin de 
réaction.
- 
Tube
B :

- 
Le dibrome est plus 
soluble dans le cyclohexane que dans l’eau.
- L’expérience réalisée dans le tube B permet de mettre en évidence le fait que le dibrome est soluble dans le cyclohexane.
- Elle montre aussi que la concentration en dibrome a diminuée lors de la réaction entre le dibrome et le cuivre métal.
- 
On donne la réaction 
d’oxydoréduction suivante :  
| Cu 
			(s) + Br2 (aq) | 
 | 
			Cu2+ 
			(aq) + 2 Br– (aq) | 
			(1) 
			 | 
| 
			avec K = 
			1,2 × 1025 | |||
  
- 
On peut calculer le 
quotient de la réaction initial du système précédent.  
- 
 
 
- 
Le système évolue 
spontanément dans le sens direct de l’équation de la réaction (1) car 
Q
r, i 
< K.
- 
Lorsque le système a 
fini d’évoluer :  
- 

- 
La 
valeur très grande de K >> 10
4 
 permet 
de dire que la réaction est quasiment totale et que le taux d’avancement final 
de la réaction est pratiquement égal à 1.
- 
τ 
≈ 1
| Cu 
			(s) + Br2 (aq) |  | 
			Cu2+ 
			(aq) + 2 Br– (aq) | 
			(1) 
			 | 
| 
			avec K = 
			1,2 × 1025 | |||
c)- 
Expérience 2 : Réaction entre 
une solution aqueuse de bromure de potassium et de sulfate de cuivre 
I.
 Dans un tube à essais,
 
Dans un tube à essais,
 
- 
On verse :
- 
2 mL d’une solution de 
bromure de potassium et  
- 
2 mL d’une solution de 
sulfate de cuivre II  
- 
de même concentration
C 
= 1,0 mol / L
- 
On laisse réagir, puis 
on ajoute 2 mL de cyclohexane et on agite.
 Observations :
 
Observations :   
- 
On ne remarque aucune 
évolution.
► 
Questions :  
- 
Quelle est l’équation 
de la réaction susceptible de se produire ?  
- 
Quelle est la valeur 
de sa constante d’équilibre 
K’ ?
- 
Quelle 
est la valeur du quotient de réaction initial ?
► 
Réponses :
- 
Équation de la 
réaction :
| Cu2+ 
			(aq) + 2 Br– (aq) | 
			 | 
			Cu 
			(s) + Br2 (aq) | 
			(1’) 
			 | 
- 
expression 
de la constante d’équilibre 
K’.
- 
 
 
- 
Valeur quotient de 
réaction initial Qr,i ?
- 
 
 
- 
Le système évolue 
spontanément dans le sens direct de l’équation de la réaction (1’)  
- 
car 
Q
r, i 
< K.
- 
Mais Q r, i 
≈ K
≈ 
0.  
- 
On peut considérer que 
le système n’évolue pratiquement pas.  
- 
On n’observe aucune 
évolution du système.  
- 
Les quantités de 
matière mises en jeu sont très faibles.  
- 
Le taux d’avancement 
de la réaction est très petit et 
K 
<< 1.
- 
Le but est de fournir 
de l’énergie à ce système pour voir si on peut le faire évoluer spontanément.
a)- 
Expérience : Électrolyse 
d’une solution aqueuse de bromure de cuivre 
II.
 Montage :
 
Montage :   
| 
 
			 
			 
			 
 | 
			Le tube en 
			
			
			U 
			est rempli d’une solution aqueuse  de bromure de 
			cuivre II de concentration  C = 1,0 
			mol / L. 
			valeur de la tension 
			
			
			UAC. le phénomène 
			d’électrolyse commence. 
			
			U AC ≈ 1,5 V 
			environ. générateur se 
			recouvre d’un dépôt  rougeâtre de 
			cuivre. générateur ; 
			apparition d’une coloration orange.  En fin de 
			réaction, on peut ajouter délicatement  du cyclohexane 
			et mélanger avec un agitateur  et remarquer 
			que le cyclohexane prend une  teinte orange 
			caractéristique de la présence  de dibrome 
			Br2 (aq). | 
- 
L’électrode reliée à
la 
borne positive :
 
 
- 
l’électrode 
reliée à la 
borne négative :
 
 
- 
Le générateur impose 
le sens du courant dans le circuit.  
- 
Le courant sort de la 
borne positive du générateur.
- 
Dans les fils conducteurs, les porteurs de charge sont les électrons qui se déplacent 
dans le sens inverse du courant.
- Dans la solution aqueuse de bromure de cuivre II,
- les ions cuivre II, Cu 2+(aq) se déplacent dans le sens du courant et
-  les ions bromure, 
Br
– (aq) se déplacent dans le sens inverse 
du sens du courant (sens de déplacement des électrons.
- 
Le dépôt rougeâtre qui 
apparaît à l’électrode reliée à la borne négative du générateur est constitué de 
cuivre métal. 
- 
il 
se produit la réduction suivante :
- 
Cu2+ 
(aq) + 
2 e– 
→ 
Cu 
(s)  
- 
La réduction 
se produit à la 
cathode (Électrode négative).
- 
Le jaunissement de la 
solution au niveau de l’électrode reliée à la borne positive est provoqué par la 
formation de dibrome.  
- 
Il se produit 
l’oxydation suivante :
- 
2 
Br– 
(aq) 
→  2
e– 
+ Br2 
(aq)
- 
L’oxydation 
se produit à l’anode 
(Électrode positive).
- 
L’équation de la 
réaction qui se produit lors de l’électrolyse est la suivante :
| Cu2+ 
			(aq) +  2 e– 
			 | 
			→ | 
			Cu 
			(s) |  | 
| 
			2 Br– 
			(aq)   | 
			→ | 
			2 e– 
			+ Br2 (aq) |  | 
| 
			Cu2+ 
			(aq) +  2 Br– 
			(aq)   | 
			→ | 
			Cu 
			(s) + Br2 (aq) | 
			(1’) | 
- 
On a vu précédemment 
que ce système constitué d’ions cuivre 
II 
en présence d’ions bromure n’évolue pas.  
- 
Le générateur fournit 
l’énergie nécessaire pour faire évoluer le système.  
- 
C’est lui qui impose 
le sens de circulation du courant dans le circuit.
- 
Il peut le forcer à 
évoluer.
- 
Au cours de la 
première expérience, on observe l’évolution spontanée d’équation :
| Cu 
			(s) + Br2 (aq) | 
			
			→ | 
			Cu2+ 
			(aq) + 2 Br– (aq) | 
			(1) 
			 | 
- 
Lors de l’électrolyse, 
il se produit la réaction suivante :  
| Cu2+ 
			(aq) +  2 Br– 
			(aq)   | 
			→ | 
			Cu 
			(s) + Br2 (aq) | 
			(1’) | 
- 
Le sens de cette 
réaction est le sens inverse du sens d’évolution spontanée :  
- 
C’est une réaction 
forcée.  
- 
Elle a lieu grâce à 
l’énergie électrique fournie par le générateur.
- 
Cette réaction forcée, 
appelée électrolyse, n’a lieu que si le générateur apporte de l’énergie 
électrique sinon, elle cesse.
- 
Pour réaliser cette 
opération, il faut un électrolyseur.
► 
L’électrolyseur :
- 
Un électrolyseur est 
un récepteur électrique constitué de deux électrodes (tiges conductrices) qui 
plongent dans une solution appelée électrolyte.
- 
Le générateur impose 
le transfert d’électrons et force une transformation limitée à poursuivre son 
évolution.
- 
L’électrolyse est une 
réaction endoénergétique (elle consomme de l’énergie).
- 
L’électrode à laquelle 
se produit l’oxydation est appelée anode (reliée à la borne positive du 
générateur)
- 
L’électrode à laquelle 
se produit la réduction est appelée cathode (reliée à la borne négative du 
générateur).
- 
Schéma simplifié :

► 
Remarque :
- 
Les termes anode et 
cathode pour noter les électrodes s’emploient aussi pour les piles.
-   
L’anode 
désigne toujours l’électrode où se produit l’oxydation.
- 
À l’anode des électrons sont cédés par 
la demi-équation électronique produite
- 
La 
cathode 
désigne toujours l’électrode où se produit la 
réduction.
- 
À la cathode, les électrons sont 
consommés par la demi-équation électronique produite.
► 
Exemples 
d’électrolyseurs :
- 
Électrolyse d’une 
solution de sulfate de cuivre II :

- 
Électrolyse d’une 
solution aqueuse d’acide sulfurique :

- 
Représentation 
schématique :

II-  
Le 
fonctionnement d’un électrolyseur : étude quantitative.
1)- Quantité d’électricité mise en jeu lors d’une 
électrolyse.
- 
L’intensité I du 
courant qui circule dans l’électrolyseur pendant la durée Δt
est 
donnée par la relation suivante :
| 
			 | |
| 
			I | Intensité du 
			courant (A) | 
| 
			Q | Quantité 
			d’électricité mise en jeu (C) | 
| 
			Δt | Durée de 
			fonctionnement de l’électrolyseur (s) | 
- 
La quantité 
d’électricité Q 
mise en jeu au cours de l’électrolyse pendant la durée Δt :
| Q 
			= n (e–) . F | |
| 
			Q | Quantité 
			d’électricité mise en jeu (C) | 
| 
			n 
			(e–) | Quantité de 
			matière d’électrons échangés (mol) | 
| 
			F | Constante de 
			Faraday : F = 96500 C . mol–1 | 
- 
Constante de Faraday : 
La valeur absolue de la charge d’une mole d’électrons définit le faraday de 
symbole F.
- 
1 
F = |NA 
. n (e–)|
- 
Q 
quantité d’électricité mise en jeu : grandeur 
positive :  Unité : 
coulomb (C).
►
Remarque :  
- 
Quantité de matière d’électrons 
échangés :  
- 

III-  
Conversion et stockage de l’énergie.
- 
Convertisseurs d’énergie :
- 
Un convertisseur 
d’énergie assure la conversion d’une forme d’énergie en une ou plusieurs formes 
d’énergie.
- 
Une pile :
- 
Une pile est un 
convertisseur d’énergie 
qui convertit de l’énergie chimique en énergie 
électrique.
- 
Un électrolyseur :
- 
Un électrolyseur  
est un convertisseur d’énergie 
qui convertit de l’énergie électrique en 
énergie chimique.
- 
Un accumulateur électrique 
:  
- 
Un 
accumulateur électrique est un convertisseur d’énergie pouvant se comporter 
comme une pile ou comme un électrolyseur.
- 
La réaction, qui se 
produit dans une pile, est la réaction opposée à celle qui se produit dans un 
électrolyseur.
- 
Dans les 
accumulateurs, l’énergie électrique est stockée sous forme d’énergie chimique.
2)- Exemple : l'accumulateur Fer-Zinc :
-  La pile Fer-Zinc :

- 
Bilan énergétique de 
la pile :  
 
 
- 
Électrolyseur 
Fer-Zinc :

- 
Bilan énergétique d’un 
électrolyseur.

- 
Dans une pile ou un 
électrolyseur, une partie de l’énergie est dissipée sous forme de transfert 
thermique (effet joule).  
- 
Ce phénomène diminue 
le rendement de ces convertisseurs.
- 
Cas de la cellule 
photovoltaïque :  

3)- Les organismes 
chlorophylliens :
- 
Le 
système chimique des organismes chlorophylliens constitué de glucose, de 
dioxygène, de dioxyde de carbone et d’eau évolue spontanément, 
la nuit, dans le 
sens direct :
| Sens direct → | ||
| C6H12O6 
			(aq) + 6 O2 
			(g)  | 
 | 
			6 CO2 
			(g)  + 6 H2O 
			(ℓ)  | 
| 
			← Sens inverse
			 | ||
- 
L’énergie apportée par la 
lumière du jour force le 
système chimique à évoluer dans le sens opposé de l’équation : c’est la 
photosynthèse.

1)- 
électrolyse d’une solution aqueuse 
de nitrate de plomb II.
| Un chimiste effectue l’électrolyse d’une solution aqueuse de 
			nitrate de plomb 
			II : 
			
			- 
			(Pb2+ (aq) + 2 
			NO3– (aq) ).  Les électrodes utilisées sont inattaquables et les ions nitrate 
			ne réagissent pas. 
 1. 
			Il se forme un dépôt de plomb sur une 
			électrode. Laquelle ? 2. 
			Écrire l’équation de la réaction 
			correspondant à ce dépôt. 3. 
			Sur l’autre électrode, se dégage un gaz qui 
			ravive une allumette incandescente. 
			
			- 
			De quel gaz s’agit-il ? sur quelle 
			électrode se forme-t-il ? 4. 
			Écrire l’équation de la réaction 
			correspondante à ce dégagement. 5. 
			En déduire l’équation globale ayant lieu 
			lors de cette électrolyse. 6. 
			L’électrolyse dure 25 min et l’intensité du 
			courant est maintenue égale à 0,85 A. a. 
			Quelle est la quantité de matière (en mol) 
			de plomb déposé sur l’une des électrodes ? b. 
			En déduire la masse de plomb déposé. c. 
			Déterminer le volume de gaz qui s’est formé 
			sur l’autre électrode. 
			
			- 
			Données :  
			
			- 
			Volume molaire des gaz dans les 
			conditions de l’expérience :  
			
			- 
			
			Vm = 
			25 L / mol. 
			
			- 
			Masse molaire atomique : 
			
			- 
			
			M(Pb) 
			= 207 g / mol. | 
| Solution. 1. 
			Électrode : 
			
			- 
			Électrode 1 : 
			
			- 
			Le dépôt de plomb se forme sur 
			l’électrode reliée à la borne négative du générateur : 
			
			- 
			La cathode. 2. 
			Équation de la réaction correspondant à ce 
			dépôt. 
			
			- 
			Il s’agit d’une réduction : la 
			réduction des ions plomb 
			II. 
 3. 
			
			Dégagement gazeux 
			qui ravive une allumette incandescente. 
			
			- 
			Électrode 2 : 
			
			- 
			Le gaz qui ravive l’incandescence 
			d’une allumette est le dioxygène 
			O 2. 
			
			- 
			Il se forme à l’anode, électrode 
			reliée à la borne positive du générateur. 4. 
			Équation de la réaction correspondante à ce 
			dégagement. 
 
			
			- 
			Il s’agit d’une oxydation : 
			
			- 
			L’oxydation de l’eau. 
			
			- 
			Elle se produit à l’anode 5. 
			Équation globale ayant lieu lors de cette 
			électrolyse. 
 6. 
			
			Étude 
			quantitative de l’électrolyse : 
			
			- 
			L’électrolyse dure Δt = 
			25 min et l’intensité du courant I = 0,85 A a. 
			Quantité de matière (en mol) de plomb déposé 
			sur l’une des électrodes : 
			
			- 
			Quantité de matière d’électrons 
			échangés : 
			
			- 
			 - Pour connaître la quantité de matière de plomb déposé, il faut utiliser    la demi-équation électronique 
			faisant intervenir les électrons : 
 
			
			- 
			Relation : 
			
			- 
			 
			
			- 
			On tire : 
			
			- 
			 
			
			- 
			Application numérique : 
			
			- 
			 b. 
			Masse de plomb déposé. 
			
			- 
			m (Pb) = n (Pb) 
			. M (Pb) 
			
			- 
			m (Pb) ≈ 6,6 × 10–3 
			× 207 
			
			- 
			m (Pb) ≈ 1,36 
			g 
			
			- 
			m (Pb) ≈ 1,4 g c. 
			Volume de gaz qui s’est formé sur l’autre 
			électrode. 
			
			- 
			Équation de la réaction : 
 
			
			- 
			Volume de dioxygène obtenu : 
			
			- 
			 | 
| 
		
		
		QCM r 
		 Forcer l’évolution 
			d’un système chimique La transformation 
			forcée Le fonctionnement 
			d’un électrolyseur La conversion et le stockage de l’énergie | 
| Préparation à l’ECE : Cuve à électrodéposition 1)- Exercice 05 
		page 182 :Identifier la réaction électrochimique. 2)- Exercice 07 
		page 183 : Déterminer une quantité de matière. 3)- Exercice 09 
		page 183 : Déterminer un type de conversion. 4)- Exercice 12 
		page 184 : Des couverts en métal argenté. 5)- Exercice 15 page 185 : Nickelage d’une 
		pièce métallique. 6)- DS N° 01 (15 min): Obtention de lithium et de dichlore par électrolyse : Exercice 17 page 186. 7)- DS N° 02 (30 min) : Obtention du cuivre par électrolyse : Exercice 18 page 187. 
 | 
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