| Chap. N° 01 Corps purs et mélanges. Cours | |
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		1)- Définition de l’espèce chimique. 
		 | |
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		II- Identification des espèces. 
		
		
		1)- Par les grandeurs physiques. Chromatographie sur couche mince (C.C.M) | |
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		1)- Les Solutions hydroalcooliques. 
		
		
		2)- Les solutions d’eau oxygénée. 
		 
 
		 
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| a)- 
Nommer des mélanges : exercices 5 page 25. b)- 
Exploiter un graphique T = f (t). Exercice 8 page 
25. c)- 
Déterminer une densité : Exercice 11 page 35. d)- 
Analyser un chromatogramme : Exercice 15 page 25. e)- 
Des caractéristiques physiques différentes : Exercices 17 page 26. f)- 
L’acide fumarique : Exercice 25 page 26. | 
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1)-  
Définition de l’espèce chimique.
a)- 
Une  espèce chimique 
correspond à un ensemble d’entités chimiques 
identiques.
– Elle est représentée par une formule chimique.
– Comme entité chimique, cette année, on travaille avec les atomes, les 
molécules et les ions.
– Un ensemble de molécules identiques constitue une espèce chimique. 
– 
Cette espèce chimique a de ce fait une structure moléculaire.
– 
Exemple :  
– 
L’eau est une espèce chimique constituée de molécules identiques : la 
molécule d’eau de formule brute H2O.
– 
Un ensemble d’atomes de fer constitue une espèce chimique. Sa formule est
Fe.
– 
Le fer a une structure atomique
– 
À l’état solide, il est constitué d’un assemblage compact et ordonné 
d’atomes de fer..  
– 
Remarque : Toute espèce chimique peut être représentée par une formule.
– 
Additif :
– 
Le chlorure de sodium (sel de cuisine) est une espèce chimique. 
 
– 
Il n’a pas une structure moléculaire mais une structure ionique. 
 
– 
On le représente aussi par une formule chimique  
NaCℓ qui n’a pas 
bien la même signification que celle de l’eau.  
– 
Le chlorure de sodium est un cristal.  
– 
Il est formé d’un assemblage compact et ordonné d’ions chlorure et d’ions 
sodium.  
– 
La formule du chlorure de sodium est une formule statistique. 
 
– 
Elle traduit le fait que dans le cristal, il y a autant d’ions chlorure 
que d’ions sodium.  
– 
La molécule d’eau est un édifice formé d’un nombre limité d’atomes.
– 
Questions : le coca-cola est-il une espèce chimique ? Le lait ? Le miel ?
– 
Un  corps pur 
est constitué d’une seule espèce chimique
– 
Un corps pur possède une formule chimique
– Un corps pur possède des constantes physiques spécifiques :
– 
température 
de fusion, température d’ébullition, masse volumique, indice de réfraction…
– 
Exemple : le dioxygène ; 
O2, le diazote ; 
N2, 
éthanol ; CH3CH2OH
a)- 
Définition.
– 
Un  mélange est constitué de plusieurs espèces chimiques.
– 
Un mélange ne possède pas de formule chimique
– Un mélange est constitué d’espèces chimiques différentes.
– 
Il ne peut pas 
être représenté par une formule chimique.
– 
Ainsi l’air est un mélange de dioxygène 
O2, de diazote
N2, l’argon 
Ar,…
– 
On ne donne pas de formule chimique à l’air.
– 
On peut donner la formule chimique des constituants de l’air.
b)- 
Complément scientifique.
– La composition d’un mélange peut être décrite par le pourcentage massique
– 
ou le pourcentage volumique de chacune des espèces présentes dans ce mélange.
– La composition d’un mélange, comme l’air peut être décrite par la proportion en volume,
– 
de chacune des espèces chimiques qui le constituent
– 
L’air est un mélange gazeux, il est composé principalement  
– 
De diazote (78 %)
– 
De dioxygène (21 %)
– 
Il contient aussi les gaz suivants (total ≈ 1 %)
– 
Les gaz rares tels que l’argon, le néon, l’hélium…
– 
Le dioxyde de carbone
– 
La vapeur d’eau…
– 
Tableau :  Pourcentage volumique de l’air.
| Air | 
			Mélange : Proportions en volume | ||
| 
			Constituants | 
			Diazote | 
			Dioxygène | 
			Autres gaz | 
| 
			Formule | 
			N2 | 
			O2 | - | 
| 
			100 | 
			78 | 
			21 | 1 | 
– 
Additif :
– La proportion en volume d’une espèce E dans un mélange est le quotient
– du volume V (E) de cette espèce
– 
par le volume total Vtot 
du mélange.
– 
Formulation :  
– 
Lorsqu’il est exprimé en pourcent (%), ce rapport est nommé pourcentage 
volumique.
– 
En conséquence, il y a 21 L de dioxygène dans 100 L d’air.
c)- 
Les différents types de mélanges.
– 
On peut classer les mélanges en deux catégories :
– 
Les  mélanges homogènes :  on ne peut pas différencier à l’œil nu les 
constituants
– 
Les  mélanges hétérogènes : on peut différencier à l’œil nu au moins deux 
constituants
– 
Exemples :  
– 
L’eau sucrée : dans un erlenmeyer, on place un sucre en morceau.
– 
Puis, on verse de l’eau et on agite. Après agitation, le sucre a disparu
– 
On dit que le sucre se dissout dans l’eau.  
– 
On obtient de l’eau sucrée qui est une solution aqueuse
– 
L’eau et le sucre sont des corps purs et l’eau sucrée est un mélange.
– 
L’eau sucrée contient des molécules de sucre parmi des molécules d’eau.
– 
L’eau et l’huile : dans un tube à essais, on verse de l’eau 
 
– 
On ajoute de l’huile et on agite. On obtient une émulsion.
– 
Après repos, on remarque que l’huile surnage au-dessus de l’eau.
– 
L’huile et l’eau forment un mélange hétérogène.
– 
De même l’eau et le sable forment un mélange hétérogène.
II-  
Identification des espèces.
1)- Par les grandeurs physiques.
a)- 
Introduction.
– 
Un corps pur possède des constantes physiques spécifiques :
– 
Température de changement d’état, : température de fusion, température 
d’ébullition,  
– 
Masse volumique, indice de réfraction…
b)- 
La masse volumique :
– 
Relation :   
| 
 | 
			– 
m 
			: Masse de l’espèce ou du mélange en g
			 
			– 
V 
			: Volume l’espèce ou du mélange en L 
			– 
ρ : 
			Masse volumique de l’espèce ou du mélange en g / L | 
– 
Remarque : on exprime aussi les masses 
volumiques en g / cm3 ou g / mL
– 
Rappel : 1 m3 = 103 dm3 = 106 
cm3 = 103 L
– 
La  masse volumique d’une espèce chimique dépend de la température.
c)- 
La densité.
– 
La  densité 
des liquides et des solides se mesure par rapport à l’eau.
– 
La densité des gaz se mesure par rapport à l’air.
– 
 
 
– 
Relation : on écrit :
| 
 | La densité est 
			un nombre qui s’exprime sans unité | 
– 
Connaissant la masse volumique du liquide, on 
peut utiliser la relation suivante.
– 
Pour le solide ou le liquide : m = 
ρ . 
V et pour l’eau : 
meau= 
ρeau 
. V
– 
Conséquence :  On en déduit la relation suivante : 
 
– 

– 
La densité est un nombre qui n’a pas d’unité.
– 
Masse volumique de l’eau : ρeau = 1,0 kg / dm3 
ou ρeau = 1,0 g / cm3 ou 
ρeau 
= 1,0 g / mL
– Pour les gaz, la référence est l’air.
– 
La relation est la suivante :
| 
			 | La densité est 
			un nombre qui s’exprime sans unité | 
– 
La masse volumique de l’air dépend de la température et de la pression.
– 
Pour une température θ = 0 °C et pour une pression p = 1013 
hPa,  
– 
La masse volumique de l’air : 
ρair = 1,29 g / L
– 
La masse volumique de l’air est petite par rapport à celle de l’eau
– 
L’état gazeux est un état dispersé alors que l'état liquide est un état 
condensé.
– 
Exemples :  
| Exemple 1 : L’hexane a une 
			masse volumique égale à 660 kg . m– 3  et l’eau liquide 
			a une masse volumique égale à 1000 kg . m– 3.  Calculer la 
			densité de l’hexane. Réponse :  Densité de l’hexane : 
 | 
| Exemple 2 : Le 
			dichlorométhane a une densité de 1,326.  Calculer sa 
			masse volumique en g . cm – 3.  Donnée :  L’eau liquide a 
			une masse volumique égale à 1000 kg . m– 3. Réponse :  Masse volumique 
			du dichlorométhane :  
 | 
| Exemple 3 : Le dioxyde de 
			carbone est un gaz qui trouble l’eau de chaux.  Il fait partie 
			des gaz à effet de serre. Pour une 
			température θ = 0 °C et une pression p = 1013 hPa,
			 Sa masse 
			volumique ρ = 1,96 g / L. Calculer sa 
			densité. Quelle remarque peut-on faire ? Donnée : la 
			masse volumique de l’air dans  les mêmes 
			conditions de température et de pression :  ρair 
			= 1,29 g / L Réponse :  Densité du 
			dioxyde de carbone :  
 Le dioxyde de 
			carbone est un gaz plus dense (plus lourd) que l’air. | 
a)- 
Test au sulfate de cuivre anhydre.
– 
C’est une poudre blanche qui bleuit en présence d’eau.  
– 
Ce test est spécifique de la présence d’eau.
 Mode opératoire :
 
Mode opératoire :  
– 
À l’aide d’une spatule, déposer un peu de sulfate de cuivre II anhydre 
dans une coupelle.  
 
 
– 
Laisser tomber une à deux gouttes de produit à tester.
 
 
– 
Résultat du test : le test est positif si la poudre blanche bleuit. 
 
– 
Le test est négatif si la poudre blanche ne bleuit pas.
b)- 
Test à l’eau de chaux. 
– 
L’eau de chaux est un liquide transparent qui se trouble en présence de 
dioxyde de carbone.  
– 
Ce test est spécifique de la présence de dioxyde de carbone.
– 
On peut schématiser le mode opératoire de ce test.

– 
Lors de cette réaction chimique, on observe un dégagement gazeux.
– 
On fait buller ce gaz dans de l’eau de chaux, liquide transparent.
– 
Ce gaz provoque le trouble de l’eau de chaux.
– 
C’est du dioxyde du carbone CO2.
c)- 
Test au papier  pH.
– 
Ce test révèle la présence d’espèces chimiques acides, neutres ou 
basiques.  
– 
Il n’est pas spécifique d’une espèce chimique.
 Mode opératoire :
 
Mode opératoire :  
– 
On plonge un agitateur en verre dans la solution à tester.  
– 
On met en contact l’extrémité de l’agitateur et un morceau de papier 
 
pH 
placé dans une coupelle.
– 
Résultat du test :  
– 
On déduit à l’aide de l’échelle des teintes de  
pH un ordre de grandeur de 
la valeur du  pH de la solution.
d)- 
Test à la liqueur de Fehling.
– 
La liqueur de Fehling est un liquide bleu qui par chauffage en présence 
de certains sucres donne un précipité rouge brique.  
– 
Ce test est spécifique de la présence de certains sucres (comme le 
glucose).
– 
On verse de la Liqueur de Fehling dans un tube à essais, on ajoute un peu 
de la solution  à tester. 
– 
On adapte une pince en bois pour tenir le tube à essais.  
– 
On chauffe modérément tout en observant le tube à essais.
– 
Si un précipité rouge brique apparaît, le test est positif.

e)- 
Le test du dioxygène.
– 
On présente un bâton de bois incandescent à l’ouverture d’un flacon 
contenant du dioxygène gazeux.
– 
Le gaz présent dans l’éprouvette ravive la 
combustion
– 
Le gaz qui ravive la combustion d’une 
bûchette incandescente est le dioxygène 
O2
– 
Ce test est spécifique de la présence du dioxygène
f)- 
Le test du dihydrogène
– 
on 
présente rapidement une allumette enflammée à l’ouverture d’une éprouvette 
contenant du dihydrogène gazeux
– 
Il se produit une faible détonation
– 
Le gaz qui 
provoque une légère détonation en présence d’une flamme est de dihydrogène
H2.
– 
Ce test est spécifique de la présence du dihydrogène.
– 
Réaction :  
– 
On verse du fer en poudre dans un tube à essais.  
– 
On ajoute de l’acide chlorhydrique concentré.  
– 
Il se produit une vive effervescence et on observe un dégagement gazeux. 
 
– 
On ferme le tube à essai avec un bouchon et on laisse agir quelques 
minutes.
– 
On enlève le bouchon et on approche une allumette enflammée de 
l’ouverture du tube à essai.
– 
Il se produit une légère détonation.
– 
Le gaz produit lors de cette réaction est du dihydrogène.
3)-  
Par la chromatographie. 
 
Chromatographie sur couche 
mince (C.C.M)
(Sous forme de travaux pratiques)
a)- 
Introduction
– 
Cette technique permet de séparer les espèces chimiques présentes dans un 
mélange homogène.
– 
Pour effectuer une  C.C.M, on utilise :
– 
Une phase fixe sur laquelle une goutte de mélange à séparer est déposée. 
 
– 
La phase fixe est constituée d’une mince couche de gel de silice déposée 
sur une plaque d’aluminium.
– 
Une phase mobile ou éluant.  
– 
C’est le solvant dans lequel les constituants du mélange sont plus ou 
moins solubles.
– 
L’éluant migre le long de la phase fixe grâce au phénomène de 
capillarité.  
– 
Il entraîne les constituants du mélange qui se déplacent à des vitesses 
différentes.  
– 
On peut ainsi les séparer.
 
 
b)- 
Chromatographie et séparation.
– 
La chromatographie permet la séparation des constituants d’un mélange. 
 
– 
Pour un éluant et un support donnés, une espèce chimique migre de la même 
façon qu’elle soit pure ou dans un mélange.
– 
Une espèce chimique très soluble dans l’éluant migre beaucoup plus vite 
qu’une substance peu soluble.
– 
Les espèces chimiques étant entraînées à des vitesses différentes peuvent 
être séparées.
c)- 
Chromatographie et analyse.
– 
La chromatographie est aussi une technique d’analyse.  
– 
Elle permet d’identifier les espèces chimiques présentes dans un mélange.
– 
Des espèces chimiques identiques migrent à des hauteurs identiques sur 
une même plaque de chromatographie.
– 
Préparation de la plaque ;
| Étape 1 : 
			 | 
			Étape 2 
 | 
			Étape 3 
 | 
| 
			Placer la plaque dans le  
			bécher et recouvrir du 
			verre de montre. 
			Laisser évoluer l’ensemble 
			jusqu’à ce que l’éluant  
			arrive à 1 cm du haut de 
			la plaque environ. 
			Sortir la plaque et  
			laisser sécher. | 
 | 
 | 
 
  
  
 
Animation 
: réalisation d'une C.C.M
1)- Les Solutions hydroalcooliques. Préparation d’une 
solution :  
a)- 
Introduction.
– 
Les Solutions hydroalcooliques sont utilisées pour désinfecter les mains.
– 
Ce sont des antiseptiques.
– 
Elles contiennent de l’éthanol, du glycérol, de l’eau oxygénée et de 
l’eau distillée.
– 
Elles s’appliquent sur les mains sèches et ne nécessitent pas de rinçage.
b)- 
Composition d’une solution hydroalcoolique.
– 
Tableau :
|  | 
			Pourcentage  
			volumique | 
			Densité | 
| 
			Éthanol à 96 % | 
			85,0 % | 
			0,806 | 
| 
			Eau oxygénée à 10 vol. | 
			4,00 % | 
			1,01 | 
| 
			Glycérol | 
			1,50  % | 
			1,26 | 
| 
			Eau distillée | 
			qsp 100 mL | 
			1,00 | 
 
Questions :
– 
Effectuer une recherche sur les différentes espèces chimiques présentes dans 
la solution hydroalcoolique.
– 
Déterminer les volumes des différentes espèces chimiques pour préparer 
100 mL de solution.
– 
Déterminer les masses des différentes espèces chimiques pour préparer 100 
mL de solution.
– 
Élaborer un protocole expérimental afin de préparer 100 mL de solution 
hydroalcoolique.
– 
Préciser le matériel utilisé et les différentes étapes.
2)- Les solutions d’eau oxygénée.
– 
La solution aqueuse de peroxyde de dihydrogène est plus connue sous le 
nom d’eau oxygénée.
– 
L’eau oxygénée dite à « 10 volumes » a un pourcentage massique en 
peroxyde de dihydrogène égal à 3,0 %.
– 
On trouve également des solutions à 10 %, 30 %, etc.
a)- 
L’eau oxygénée est-elle un corps pur ?
b)- 
Il est possible de tracer l’évolution de la densité des solutions de 
peroxyde de dihydrogène en fonction du pourcentage massique en hydroxyde de 
dihydrogène :
– 
Graphe :
– 
Comment la densité d 
des solutions de peroxyde de dihydrogène 
évolue-t-elle en fonction du pourcentage massique en peroxyde de dihydrogène ?
– 
Déterminer la valeur de la densité d’une solution à 50 %.
c)- 
Calculer la masse de peroxyde de dihydrogène contenue dans 1,0 L de 
solution à 50 %.
d)- 
Élaborer un protocole expérimental pour déterminer le pourcentage 
massique d’une solution inconnue de peroxyde de dihydrogène.
– 
Tableau : Concentration en H2O2 : 
Pourcentage massique
| Paramètres | 
			Concentration en H2O2 : 
			pourcentage massique | ||||||
|  | 
			10 % | 
			30 % | 
			35 % | 
			50 % | 
			60 % | 
			70 % | 
			100 % | 
| Masse 
			volumique g 
			/ mL | 
			1,03 | 
			1,11 | 
			1,13 | 
			1,20 | 
			1,24 | 
			1,29 | 
			1,45 | 
| Température 
			de fusion ° 
			C | 
			-6 | 
			-26 | 
			-33 | 
			-52 | 
			-56 | 
			-40 | 
			-0,43 | 
| Température 
			d’ébullition ° 
			C | 
			102 | 
			106 | 
			108 | 
			114 | 
			119 | 
			125 | 
			150 | 
3)- 
 Correction :
a)- 
Nommer des mélanges : exercices 5 page 25.
b)- 
Exploiter un graphique T = f 
(t). Exercice 8 page 
25.
c)- 
Déterminer une densité : Exercice 11 page 35.
d)- 
Analyser un chromatogramme : Exercice 15 page 25.
e)- 
Des caractéristiques physiques différentes : Exercices 17 page 26.
f)- 
Des tests de mise en évidence : Exercice 22 page 26.
g)- 
L’acide fumarique : Exercice 25 page 26.
| 
 |